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Article de Valérie Gaudreau Le Soleil (Québec) Mieux s'adapter aux changements climatiques, valoriser une consommation responsable de l'eau et assurer la qualité de l'eau pour satisfaire les usages sont les trois éléments principaux que la Ville de Québec devra améliorer pour devenir davantage aquaresponsable. Ces conclusions sont tirées d'un rapport préliminaire d'une étude de l'Institut national de la recherche scientifique et de l'Université Laval amorcée en août 2011. Québec s'était alors prêtée à un projet-pilote afin de produire un audit sur son aquaresponsabilité. Le maire Régis Labeaume a fait lundi un rapport oral au conseil municipal de ce document préliminaire de 160 pages contenant des recommandations qui seront transmises aux différents services de la Ville. La Ville de Québec a mis 100 000 $ dans ce projet-pilote qui évaluait 17 points, comme le transport des eaux usées ou la gestion des eaux pluviales. Le maire a noté lundi que la Ville devra se munir d'une méthode de calcul plus systématique quant à la perte d'eau potable, malgré des modifications qui ont depuis 2007 permis de réduire de 10 % la proportion d'eau perdue de tout le volume qui circule dans les tuyaux. «Nos fuites sont de 21 à 22 %. C'est un bon bilan, a dit le maire. Mais malheureusement, ce n'est pas très, très précis en termes de calcul. Il faut se trouver des méthodes adéquates.»
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