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Entrée en vigueur du nouveau Programme d’infrastructures municipales d’eau (PRIMEAU)

2014-04-01
Communiqué - Le Ministère des Affaires municipales, des Régions et de l'Occupation du territoire (MAMROT) annonce l’entrée en vigueur du nouveau Programme d’infrastructures municipales d’eau (PRIMEAU). Celui-ci remplace le sous-volet 1.4 du Programme d’infrastructures Québec-Municipalités (PIQM) voir note.Ce programme d’aide financière vise à soutenir les municipalités dans la réalisation de travaux de construction, de réfection ou d’agrandissement d’infrastructures d’eau potable et d’eaux usées, notamment dans le cadre de la mise aux normes des infrastructures.Le PRIMEAU offre aux municipalités une nouvelle approche d’accompagnement en différentes étapes qui contribuera à diminuer les risques financiers associés aux augmentations de coûts des projets subventionnés. Les processus actuels menant à l’octroi d’une aide financière ont été revus afin d’obtenir une définition plus précise des projets avant tout engagement gouvernemental. Ces processus permettront au Ministère et aux municipalités d’exercer une surveillance plus étroite à l’égard des coûts de leurs projets, ainsi que des règles applicables à la gestion contractuelle.Dans le cadre du PRIMEAU, l’octroi de l’aide financière pour les projets de mise aux normes de l’eau potable et d’assainissement des eaux usées se fera en deux étapes.La première étape englobera la réalisation des études préliminaires, la conception des ouvrages et la confection des plans et devis définitifs jumelés à une estimation précise des coûts.La seconde étape encadrera l’appel d’offres de construction et la réalisation des travaux. Chaque étape fera l’objet d’un engagement gouvernemental et d’un protocole d’entente distincts. Par ailleurs, les engagements gouvernementaux se feront après l’analyse des soumissions afin d’établir une aide financière finale.Divers mécanismes de surveillance seront prévus aux étapes clés, entre autres :Les termes de référence des devis d’appel d’offres devront être acceptés par le Ministère avant le lancement des appels d’offres.Les études préliminaires, la conception des ouvrages, les plans et devis définitifs, incluant les estimations de coûts à chacune de ces étapes, devront recevoir l’accord du Ministère avant de passer à l’étape suivante.Le lancement de l’appel d’offres pour la construction de même que la soumission retenue pour la réalisation des travaux devront recevoir l’accord du Ministère, et ce, préalablement à la confirmation de l’aide financière.L’approche proposée dans ce nouveau programme constitue une évolution bénéfique et contribuera, par l’application d’un suivi rapproché des projets, à améliorer de façon significative la gestion des programmes d’infrastructures. Tout en répondant aux préoccupations du Vérificateur général du Québec, cette nouvelle façon de faire favorisera un meilleur encadrement des projets subventionnés.Les documents d’information et les formulaires de demande dans le cadre du PRIMEAU sont disponibles dans la section Infrastructures, à la rubrique PRIMEAU volet 1 et PRIMEAU volet 2.Note : La réalisation des projets ayant déjà fait l’objet d’une confirmation d’aide financière est toutefois maintenue dans le cadre du sous-volet 1.4 du PIQM. 

Suivi des développements du protocole PACP MACP 7.0

2014-03-04
Par Ronnie Flannery-GuyLors de notre participation à WEFTEC, nous avons assisté à la deuxième rencontre annuelle de la NASSCO portant sur le développement de la nouvelle version du protocole MACP/PACP 7.0. Cette participation sur place nous a permis d'assister activement aux différents comités et aux deux rencontres annuelles. À ce jour, nous avons participé aux comités suivants : PACP (manual revision committee), MACP (revision committee), PACP (sub-group for déformation), MACP (sub-group for a revised Level 1 inspections) et le « Software committee ».Lors de cette rencontre, les discussions ont porté sur les besoins d’adaptation du protocole pour le marché du Québec. Plus précisément, il a été question de l’inclusion des différentes technologies comme les inspections par caméra à téléobjectif et des modifications concernant le MACP qui permettraient des inspections de regards sans augmentation de coût. Lors de la rencontre à Chicago, plusieurs discussions ont concerné les manuels supplémentaires produits par le CERIU qui requièrent l’approbation de la NASSCO  et le processus nécessaire afin de procéder à ce type de demandes dans le futur. Finalement, soulignons que nous avons obtenu l’approbation de la NASSCO pour fournir une table de conversion entre les différents protocoles vers le PACP et que nous avons discuté de la formation à distance et des délais de réception des bulletins techniques la part de NASSCO. En effet, nous voudrions recevoir ceux-ci plus rapidement afin de pouvoir procéder leur traduction et les diffuser en même temps que NASSCO.En maintenant des liens de rapprochement avec la NASSCO, nous nous assurons d'une meilleure compréhension des besoins du Québec. En ce sens, nous avons eu des demandes spécifiques pour participer à différents comités et au congrès annuel qui aura lieu en février prochain. 

Programme d'infrastructures Québec-Municipalités - Le ministre Sylvain Gaudreault annonce la création du programme d'infrastructures municipales d'eau

2014-03-04
QUÉBEC, le 3 mars 2014 /CNW Telbec/ - Le ministre des Affaires municipales, des Régions et de l'Occupation du territoire et ministre des Transports, monsieur Sylvain Gaudreault, donne suite aux recommandations formulées en 2013 par le Vérificateur général du Québec et annonce qu'il mettra en place, le 1er avril prochain, le Programme d'infrastructures municipales d'eau (PRIMEAU), dédié aux travaux de construction, de réfection ou d'agrandissement d'infrastructures d'eau potable et d'eaux usées. Ce nouveau programme remplacera le sous-volet 1.4 du Programme d'infrastructures Québec-Municipalités (PIQM). Il m'apparaît essentiel d'obtenir une définition plus précise des projets subventionnés et une évaluation plus juste des coûts pour exercer un contrôle efficace des règles d'octroi de contrats par les municipalités. Cette nouvelle approche permettra d'améliorer significativement les prévisions et le suivi des investissements faits dans le cadre de ce programme. Elle sera tout aussi bénéfique aux municipalités concernées, qui pourront dorénavant transmettre de façon transparente les coûts de réalisation des projets à leurs citoyens », a expliqué le ministre Gaudreault.Faits saillants du nouveau programmeL'octroi de l'aide financière se fera en deux étapes. La première (volet 1) englobera la réalisation des études préliminaires, la conception des ouvrages et la confection des plans et devis définitifs jumelés à une estimation précise des coûts. La seconde (volet 2) encadrera l'appel d'offres de construction et la réalisation des travaux.Divers mécanismes de surveillance sont prévus aux étapes clés. Parmi ceux-ci :les termes de référence des devis d'appel d'offres devront être acceptés par le Ministère avant le lancement des appels d'offres;les études préliminaires, la conception des ouvrages, les plans et devis définitifs, incluant les estimations de coûts à chacune de ces étapes, devront recevoir l'accord du Ministère, et ce, avant d'entreprendre l'étape suivante;le lancement de l'appel d'offres pour la construction, de même que la soumission retenue pour la réalisation des travaux, devront recevoir l'accord du Ministère, et ce, préalablement à la confirmation de l'aide financière.« La nouvelle approche constitue un changement majeur par rapport au processus actuel et permet d'améliorer davantage, au bénéfice des citoyens du Québec, les hauts standards de rigueur du Ministère. De plus, elle assurera une meilleure intégration et une planification plus efficace des travaux lorsque ceux-ci font l'objet d'une réalisation conjointe avec ceux du ministère des Transports », a conclu le ministre.Rappelons que le 22 mars 2013, dans le but de doter le Québec de processus rigoureux et transparents dans la gestion et la sélection des projets d'infrastructures municipales et de rétablir la confiance des Québécois envers leurs institutions démocratiques, le ministre Gaudreault annonçait un nouveau sous-volet du Programme d'infrastructures Québec-Municipalités, soit le programme de réfection et de construction des infrastructures municipales (RECIM). Celui-ci est consacré aux infrastructures à vocation municipale et communautaire, dont la gestion est basée sur des principes d'équité et de transparence. La sélection des projets se fait dorénavant avec rigueur, selon un système d'évaluation, qui permet d'accorder la priorité aux projets qui découlent d'une problématique importante dont l'urgence peut être démontrée.Lire le communiqué

Nouveaux projets de recherche : de la consultation à l’action !

2014-02-27
Mot du directeur généralLe 24 septembre 2013, le CERIU a tenu un Forum d’orientation afin de discuter et cibler les actions futures de l’organisation en termes de développement de projets de recherche. Celui-ci a mené à la rédaction d'un rapport de synthèse, dont vous pourrez constater qu'il est subdivisé en trois parties. Premièrement, il aborde les projets de recherche qui nécessitent une attention plus immédiate.  Ensuite, il touche à la nécessité d’inclure les petites municipalités dans le processus d’élaboration de projets de recherche afin de mieux répondre à leurs besoins. Finalement, il souligne l’importance de la diffusion comme moyen servant à optimiser la notoriété du CERIU.Au début décembre, le milieu s’est à nouveau fortement mobilisé dans le cadre du congrès INFRA 2013 dans le but d’échanger sur les meilleures pratiques d’aujourd’hui et de demain.Fort de ces deux forums, le 20 janvier dernier, les membres du nouveau Comité d’orientation du CERIU se sont réunis afin de cibler et prioriser les projets de recherche identifiés comme étant prioritaires pour les municipalités et partenaires du milieu.  De cet exercice, huit projets ont été identifiés :Mise en application du Guide de gestion des eaux pluviales : volet contrôle de la qualitéGuide de surveillance des travaux d’infrastructuresDevis-type pour un plan d’intervention pour le renouvellement des conduites d’eau potable, d’égouts et des chausséesInventaire des logiciels de gestion des infrastructures municipales et RTU pour les municipalités de toute envergureGuide et méthodes pour lutter contre les ilots de chaleurProjet-pilote pour le Guide de reconstruction des réseaux souterrains en zone résidentielleRègles de déploiement des antennes de télécommunicationRéseau d’intercommunication et forum de discussion à l’usage de tous les membres du CERIU et de tous les Conseils permanentsComme vous pouvez le constater, le CERIU passe de la consultation à l’action.  Fort des observations lors des différents échanges qui ont eu lieu, d’ici les prochaines semaines, les Conseils permanents du CERIU se réuniront afin finaliser et voir au lancement de nouveaux projets de recherche. À l’aide de prospectus, pour chaque projet, ils détermineront entre autres les objectifs, le contenu, les indicateurs de performance, les livrables attendus, les partenaires potentiels pour les projets de recherche priorisés.À nouveau, comme à toutes les étapes de réflexion, votre apport est le bienvenu.  Nous vous invitons donc à communiquer avec nous si vous souhaitez participer à l’une ou l’autre des étapes liées à l’élaboration de nos projets.  Ce faisant, nous vous invitons à communiquer avec Madame Georgette Lacaille à georgette.lacaille@ceriu.qc.ca afin de manifester votre intérêt.Encore une fois, merci à toutes et tous les membres, partenaires et bénévoles pour leur participation et leur collaboration au développement et au déploiement du CERIU.Consulter le rapport de synthèse 

Arrivée de la version 6.0.2 du protocole d'inspection télévisée par caméra conventionnelle CERIU‐NASSCO

2014-02-24
Cette nouvelle version propose des modifications importantes aux Programmes de certification visant l’évaluation de l’état des conduites (PACP ©) et des regards (MACP©).Montréal, 29 janvier 2013 ‐ Le CERIU annonce l’arrivée de la nouvelle version 6.0.2 des programmes de certification visant l’évaluation de l’état des conduites (PACP ©) et des regards (MACP©).Le programme de certification PACP © propose, entre autres, l’ajout de nouveaux codes de défauts tandis que le programme de certification MACP © instaure deux niveaux d’inspection. Dorénavant, l’inspection de niveau 1 sert à colliger des informations générales et permet d’évaluer la nécessité de passer au niveau 2. Le niveau 2 quant à lui procure une évaluation exhaustive de l’état du regard en vue d’une intervention par les propriétaires de réseaux.Cette nouvelle version 6.0.2 modifie l’offre de formation en proposant un cours distinct par certification, et ce, dans le but d’assurer un horaire flexible et un haut standard de qualité.Modifications aux programmes de certification‐ Certification PACP© (version 6.0.2) exige deux journées de formation et la réussite d’un examen avec une note de passage égale ou supérieure à 85 %.‐ Certification MACP© (version 6.0.2) exige ½ journée de formation et la réussite d’un examen avec une note de passage égale ou supérieure à 85 %.Notez que le cours PACP© est un préalable au cours MACP©.Programmes de recertificationLes certifications PACP© et MACP© sont valides pour 3 ans. Après ce délai, les opérateurs et analystes doivent se faire recertifier par le CERIU, seul organisme accrédité au Québec pour offrir le programme de recertification des opérateurs et analystes.‐ La recertification PACP© exige une journée de formation et la réussite d’un examen de recertification avec une note de passage égale ou supérieure à 85%.‐ La recertification MACP© exige ½ journée de formation et la réussite d’un examen avec une note de passage égale ou supérieure à 85 %.Depuis 2009, l’utilisation de ce protocole par l’ensemble du milieu québécois permet de colliger des données d’observation et des caractéristiques afin d’interpréter uniformément l’état des ouvrages. De cette façon on permet aux spécialistes non seulement d’assurer la qualité des inspections mais aussi de favoriser l’exploitation des données dans le but de pouvoir suivre l’évolution des détériorations des réseaux d’égouts.Lien d'information : http://www.ceriu.qc.ca/ceriu/certifications-ceriu-nassco 

FCM - Lauréats des Prix des collectivités durables 2014 annoncés

2014-02-14
Le jeudi 13 février 2014. La Fédération canadienne des municipalités (FCM) a annoncé le 12 février les gagnants des Prix des collectivités durables 2014 à l'occasion de sa Conférence et du salon professionnel sur les collectivités durables (CCD) à Charlottetown (Î.-P.-É.). Ces prix soulignent l'innovation et l'excellence en développement durable municipal à travers tout le Canada dans six catégories : les sites contaminés, l'énergie, l'aménagement de quartiers, les transports, les matières résiduelles et l'eau.« Les lauréats présentés ce soir ont démontré un engagement et une détermination sans relâche pour la protection de l'environnement, a déclaré Claude Dauphin, président de la FCM et maire de l'arrondissement la Lachine de Montréal (QC). En fait, des milliers de municipalités de partout au Canada méritent d'être reconnues pour leurs initiatives novatrices dans ce secteur, mais les collectivités lauréates et leurs projets représentent la norme d'excellence. » La liste des gagnants très variée, est constituée à la fois de grandes villes, comme Vancouver, mais aussi de plus petites et de collectivités plus nordiques, comme Iqaluit. »« Les projets et les collectivités qui ont gagné, ainsi que ceux qui ont terminé en deuxième place ont plusieurs points communs, notamment une vision audacieuse et un grand cœur, a ajouté à Raymond Louie, président du Conseil du Fonds municipal vert (FMV) et conseiller de la Ville de Vancouver (C.-B.). Ajoutez à cela des partenariats efficaces, un engagement communautaire actif et des cibles mesurables. »Trois des sept projets gagnants ont reçu le soutien du Fonds municipal vert de la FCM. Le gouvernement du Canada a doté la FCM de 550 millions de dollars afin d'établir le Fonds. Il offre du financement et des connaissances aux gouvernements municipaux et à leurs partenaires pour réaliser leurs projets environnementaux, comme ceux qui sont honorés ce soir.Les lauréats des Prix des collectivités durables 2014 de la FCM sont :Sites contaminés•    Ville de Smithers (C.-B.), Rue principale de Smithers : sites contaminés transformés en places publiquesÉnergie•    Ville de Guelph (Ont.), Initiative communautaire en matière d'énergie de la Ville de GuelphAménagement de quartier•    Plan : Ville d'Iqaluit (Nt), Plan de développement durable de la Ville d'Iqaluit•    Projet : Ville de Toronto (Ont.), Corktown CommonTransports•    Ville de Vancouver (C.-B.) Programme de mise en place d'infrastructure de recharge des véhicules électriquesMatières résiduelles•    Ville de Surrey (C.-B.), Programme de gestion repensée des déchetsEau•    Ville de Mississauga (Ont.), Réfection de l'emprise de la promenade Elm Des vidéos et des études de cas pour chacun des projets lauréats sont accessibles sur le site Web de la FCM. Prix des collectivités durables 2014 – Mentions honorables :Énergie•    Arrondissement de Saint-Laurent, Montréal (QC), Projet d'éclairage public à DELAménagement de quartier•    Ville de Dieppe (N.-B.), Conception d'une collectivité durable pour le Village en haut du ruisseau
Pour toute information complémentaire, veuillez consulter la page Description des catégories et éligibilité du site Web de la FCM. Pour plus d'informations:Organisation:
Fédération canadienne des municipalités (FCM)
Adresse:
24 rue Clarence,
Ottawa, Ontario,
Canada, K1N 5P3www.fcm.ca
  

Le Prix génie-voirie en développement durable va à Lafontaine - ACRGTQ

2014-02-12
Le lundi 27 janvier 2014 - La directrice générale de l'Association des constructeurs de routes et grands travaux du Québec (ACRGTQ), Me Gisèle Bourque a remis, en compagnie d'Anik Girard, directrice générale de Constructo, le Prix génie-voirie en développement durable à Lafontaine inc. Organisé conjointement par Constructo et l'ACRGTQ, le Prix génie-voirie en développement durable a pour objectif de sensibiliser tous les acteurs québécois du génie civil et voirie à l'importance d'exercer leurs activités en tenant compte des enjeux de développement durable visant à créer une économie innovante et prospère, écologiquement et socialement responsable. Cette année, le gagnant du Prix génie-voirie en développement durable s'est fait remarquer par ses pratiques de mise en œuvre lors d'un projet de la ville de Québec situé sur de la 3e Avenue Ouest à l'angle de l'Autoroute 40. Avantage indéniable dans un contexte de développement durable, le récipiendaire du prix a utilisé une technique de travaux sans tranchée qui a permis notamment de minimiser le déplacement de terre, la mise en dépôt de matériaux et la mise en œuvre de nouveaux remblais. Ainsi, en utilisant des coques en PRV aucune intervention sur ce réseau ne sera nécessaire avant un minimum de 50 ans permettant de diminuer l'empreinte sur l'environnement. Constructo se spécialise dans la livraison d'information stratégique aux différents acteurs du milieu de la construction au Québec, depuis 1963, par l'entremise de son journal bihebdomadaire et de son pendant électronique, en plus de les tenir au diapason de l'innovation et des tendances qui se profilent dans l'industrie par le biais de ses différentes publications thématiques. C'est sans compter que cette division de TC Médias agit également en partenariat avec Groupe CGI pour la gestion du SÉAO, le système électronique d'appel d'offres du gouvernement du Québec.  Pour plus d'informations:Organisation: L'Association des constructeurs de routes et grands travaux435, Grande Allée EstQuébec, QuébecCanada, G1R 2J5www.acrgtq.qc.ca

Stratégie nationale de mobilité durable - Une planification intégrée de l'aménagement du territoire et du transport sans précédent

2014-02-11
QUÉBEC, le 10 févr. 2014 /CNW Telbec/ - Le ministre des Transports et ministre des Affaires municipales, des Régions et de l'Occupation du territoire, M. Sylvain Gaudreault, a confirmé aujourd'hui, à l'occasion de la présentation de la Stratégie nationale de mobilité durable, un virage inédit afin de concrétiser la nécessaire convergence de l'aménagement du territoire et des transports.« Le gouvernement pose ici un geste majeur en mettant en place une planification intégrée de l'aménagement du territoire et du transport. Grâce à cette intégration, les initiatives engagées en matière de transport bénéficieront d'une cohérence et d'une efficacité dont profiteront tous les Québécois. Nous proposons une nouvelle façon d'occuper notre territoire », a déclaré le ministre Gaudreault.Modification de la Loi sur l'aménagement et l'urbanismeTransport et aménagement du territoire sont intimement liés. Afin de concrétiser cette réalité, le gouvernement annonce la modification de la Loi sur l'aménagement et l'urbanisme dans le but d'implanter dans l'ensemble du Québec une planification intégrée de l'aménagement du territoire et du transport. Cette façon de faire représente une innovation majeure en matière de planification et un gain important en matière d'efficacité.Plus de leadership pour les MRC et pour les communautés métropolitainesCette modification consistera à rendre obligatoire la planification intégrée de l'aménagement du territoire et du transport dans les différents documents élaborés par les MRC ainsi que par les communautés métropolitaines. Une telle planification est actuellement facultative dans les MRC et peut être limitée seulement à une partie des territoires des communautés métropolitaines de Montréal et de Québec.Les effets de cette nouvelle obligation se refléteront dans les plans et règlements d'urbanisme élaborés par les municipalités locales. Le gouvernement veut procéder rapidement.Révision des orientations gouvernementales en aménagement du territoireLa mise en place d'une planification intégrée de l'aménagement du territoire et du transport comprend également la révision des orientations gouvernementales en aménagement du territoire, qui contiennent les lignes directrices guidant l'aménagement et le développement sur le territoire québécois. Le gouvernement procédera ainsi prioritairement à l'identification des orientations à prendre en compte dans la planification intégrée de l'aménagement et du transport. Les trois objectifs sont les suivants :limiter les distances parcourues;réduire la durée des déplacements;favoriser un transfert modal de l'auto solo vers des modes plus durables.Une stratégie novatrice au bénéfice des générations futures«Trop souvent par le passé, l'aménagement du territoire et le transport ont été considérés de façon séparée. En 100 ans d'histoire, jamais le ministère des Transports n'aura tenu compte d'une manière aussi intégrée des enjeux contemporains de l'aménagement du territoire. Ce que nous proposons aujourd'hui, c'est une stratégie pour faire face aux défis du 21e siècle », a conclu Sylvain Gaudreault.Consulter la  Stratégie nationale de mobilité durable 

Certification des logiciels d’inspection télévisée à la version 6.0 - PACP

2014-02-06
Montréal, le 6 février 2014 – Le Centre d’expertise et de recherche en infrastructures urbaines (CERIU) est heureux d’annoncer que tout logiciel de collecte de données spécialisé en inspection télévisée produit et vendu au Québec peut désormais être certifié à la nouvelle version 6.0 du programme d’évaluation en inspection télévisée pour les conduites d’égouts CERIU-NASSCO (PACP).Le sceau de la version 6.0 appliqué à un logiciel de collecte de données spécialisées en inspection télévisée assure ainsi aux gestionnaires municipaux sa conformité aux nouvelles règles de codifications en vigueur en matière d’inspection d’égouts. Unique détenteur de la licence NASSCO au Québec, le CERIU veille à la certification des logiciels spécialisés en inspection télévisée afin de s’assurer que les données collectées répondent à des normes reconnues, et ce, afin que tout spécialiste puisse les analyser, les exploiter et les partager, mais aussi suivre l’évolution des détériorations des réseaux d’égouts dans le temps. Comment faire certifier son logiciel CERIU- NASSCO ?Pour certifier un logiciel, celui-ci doit être validé sur le plan technique par le CERIU au Québec ou par NASSCO aux États-Unis. Également, au Québec, la terminologie française utilisée de ce dernier doit être approuvée par le CERIU.Pour connaître la démarche de certification ou soumettre un logiciel, communiquez avec le CERIU  au 514 848- 9885.Source et information :    Stéphanie Boivin    Coordonnatrice aux communications et à la diffusion    Tél. : 514 848-9885, poste 270    stephanie.boivin@ceriu.qc.ca 

Les autorisations délivrées par l’AMF à des firmes de génie-conseil confirment le redressement des pratiques dans l’industrie

2014-02-05
Montréal, le 5 février 2014 – Les autorisations de conclure des contrats publics accordées par l’Autorité des marchés financiers (AMF) à des firmes de génie-conseil, dont les plus récentes à SNC-Lavalin et WSP Canada inc., confirment le redressement des pratiques et démontrent que les changements majeurs en cours dans l’industrie portent leurs fruits.« Avant de soumettre une demande d’autorisation, les firmes doivent analyser en profondeur leurs pratiques et prendre les mesures nécessaires, s’il y a lieu, pour se conformer à la loi, a déclaré Mme Johanne Desrochers, présidente-directrice générale de l’Association des ingénieurs-conseils du Québec (AICQ). Tout le secteur du génie-conseil au Québec a clairement entrepris une vaste réforme et les résultats sont probants. Même les firmes qui avaient déjà des façons de faire irréprochables avant l’entrée en vigueur de la loi sont amenées à réévaluer les risques et à améliorer leurs pratiques. »La gestion de l’éthique et de l’intégrité est une priorité pour les directions actuelles des firmes de génie-conseil au Québec. Les mesures mises en place à ce chapitre sont essentielles non seulement pour obtenir l’autorisation de l’AMF pour les contrats publics, mais également afin de rétablir la confiance auprès des clients privés et internationaux.« La notion de confiance est fondamentale pour que les ingénieurs-conseils assument pleinement leur rôle de professionnels et de partenaires dans la réalisation de projets, a ajouté Mme Desrochers. Cette relation de confiance doit être rétablie afin que nos ingénieurs-conseils continuent de faire rayonner, ici et partout dans le monde, l’expertise québécoise en génie. »Parmi les membres de l’AICQ, plusieurs firmes ont déjà déposé leur demande d’autorisation ou prévoient le faire au cours des prochains mois.À propos de l’Association des ingénieurs-conseils du QuébecFondée en 1974, l'Association des ingénieurs-conseils du Québec (AICQ) regroupe 33 firmes de toutes les tailles, présentes dans toutes les régions du Québec et qui emploient la majorité de la main-d’œuvre dans le secteur du génie-conseil au Québec. Ces firmes offrent une gamme variée de services professionnels, allant des études environnementales à la mise en service, en passant par la conception, la préparation des plans et devis et la surveillance des travaux de construction. www.aicq.qc.ca Source :  Association des ingénieurs-conseils du Québec (AICQ)Renseignements :        Pierre NadeauDirecteur des communicationsTél. : 514.871.0589 poste 28 | Téléc. : 514.871.9903 | pnadeau@aicq.qc.ca  

Stratégie québécoise d’économie d’eau potable

2014-01-16
Le Rapport annuel de l'usage de l'eau potable pour l’année 2012 est maintenant disponible. Les nouvelles données recueillies permettent de dresser un bilan plus complet et précis de l’usage de l’eau au Québec.Rapport annuel de l'usage de l'eau potableSource : Ministère des Affaires municipales, Régions et Occupations du territoire

M. Claude Décary est nommé président du conseil par intérim de l’Association des ingénieurs-conseils du Québec

2014-01-10
Montréal, le 10 janvier 2014 – Les administrateurs de l’Association des ingénieurs-conseils du Québec (AICQ) ont récemment nommé M. Claude Décary, président-directeur général de Bouthillette Parizeau, à titre de président du conseil par intérim jusqu’à la prochaine assemblée annuelle, prévue en juin 2014.Au sein de Bouthillette Parizeau, Claude Décary voit au développement de la firme, en plus d’être impliqué à la réalisation de projets complexes. Membre de plusieurs organismes, il collabore étroitement tant avec le milieu de l’ingénierie qu’avec le monde des affaires. Il est un homme d’avant-garde et est à l’affût des nouvelles tendances. M. Décary a déjà occupé la fonction de président du conseil de l’AICQ et il avait à ce moment conduit un exercice de planification stratégique, ce qu’il fera à nouveau au cours des prochains mois.« L’AICQ et tout le génie-conseil traversent une période difficile de leur histoire et je suis convaincu que chaque membre qui s’implique peut faire la différence pour améliorer la situation, et c’est ce que j’ai décidé de faire, a affirmé M. Décary. Dans le contexte actuel de transformation du secteur, le moment est venu de repositionner l’Association et je souhaite y travailler au cours des prochains mois avec les administrateurs et l’ensemble des membres. »M. Décary succède à M. Marc Tremblay, président du conseil 2012-2013 de l’AICQ et vice-président principal, Québec chez WSP Canada inc., qui avait accepté de demeurer en fonction par intérim jusqu’à la nomination des officiers. M. Tremblay demeurera actif au sein du conseil d’administration et du comité exécutif comme président ex-officio.Le nouveau comité exécutif est complété avec les nominations de M. Robert Rivard, président d’Infrastructel, à titre de vice-président du conseil, et de M. Pierre Nader, président de SPN Consultants, à titre de trésorier.À propos de l’Association des ingénieurs-conseils du QuébecFondée en 1974, l'Association des ingénieurs-conseils du Québec (AICQ) regroupe 34 firmes de toutes les tailles, présentes dans toutes les régions du Québec et qui emploient la majorité des employés dans le secteur du génie-conseil au Québec. Ces firmes offrent une gamme variée de services professionnels, allant des études environnementales à la mise en service, en passant par la conception, la préparation des plans et devis et la surveillance des travaux de construction. www.aicq.qc.ca

Mobilisation pour les infrastructures municipales

2013-12-18
Bilan INFRA 2013Montréal, 18 décembre - Le comité organisateur d'INFRA 2013 était mandaté pour assurer un haut calibre de programmation et mobiliser un nombre record d’experts impliqués dans le domaine des infrastructures municipales, du 2 au 4 décembre, au Centre des congrès de Québec. C’est maintenant mission accomplie! Plus que jamais, cette 19e édition du congrès INFRA a confirmé le rôle phare de celui-ci en matière de vulgarisation scientifique, technique et pratique dans le domaine des infrastructures municipales.INFRA 2013 a battu un record de participation atteignant un niveau de 1 271 participants contre 965 lors de la dernière édition à Québec, et ce, malgré les bourrasques qui secouent le domaine des infrastructures municipales. On dénombre que les représentants présents sont issus à 36% de municipalités, 47% d'entreprises, 6% du gouvernement et d'associations et 11% d’universités et de centres de recherche.Organisée par le Centre d'expertise et de recherche en infrastructures urbaines (CERIU), du 2 au 4 décembre, la 19e édition d’INFRA tenue sous le thème La somme de nos compétences au service des citoyens a bénéficié du support du président du comité organisateur, M. Daniel Lessard, ing., directeur, Service de l’ingénierie de la ville de Québec ainsi que de l’appui dédié d’une vingtaine d’intervenants de tous les milieux des infrastructures municipales, dont Mme Sophie Duchesne, ing., professeure-chercheure, INRS ETE et responsable du volet de la programmation du Congrès.Une programmation captivanteDurant les 3 jours d'INFRA 2013, la programmation, qui se divisait en 18 sessions, a offert 90 conférences de haut niveau technique sur des thèmes d'intérêt grandissant comme les enjeux de la planification et de la réalisation de projets urbains, mais aussi sur des sujets tels que la sécurité routière et gestion de la circulation, les pratiques de gestion durable, les stratégies d'économie d'eau potable, la gestion des eaux pluviales : qualité et performance, la gestion et planification intégrées, l'auscultation des réseaux et recherche d'infiltration, mesure des débits et station de pompage,  la réhabilitation des infrastructures, les méthodes d'auscultation, et encore plus dans les domaines des réseaux techniques urbains, des chaussées, des infrastructures souterraines et de la gestion.Invités de marqueM. Jean-Paul L’Allier a donné le ton à l’ouverture en questionnant l’auditoire sur Combien coûtent les infrastructures qui ne tiennent pas compte du développement prévisible ? Fait-on des économies sans travail rigoureux des urbanistes et des architectes ? Le temps de la réflexion coûte-t-il plus cher, vraiment que les décisions de coin de table et de campagnes électorales ? Proposant de rompre avec les anciennes visions et pratiques, M. L’Allier a rappelé qu’il est prioritaire d’innover et de soutenir des pratiques alternatives saines et durables, et ce, pour le bien-être des collectivités.Témoignant de cette volonté des gestionnaires municipaux de développer les infrastructures selon les principes d’une saine gestion, M. Jack Benzaquen, directeur général à la ville de Dollard-des-Ormeaux et président de l’Association des directeurs généraux des municipalités du Québec est venu présenter sa façon de relever les défis présents et futurs de sa municipalité en considérant plusieurs facteurs d’influence tels que les besoins, l’évaluation des actifs, l’état des infrastructures, la gestion des risques, les programmes de renouvellement et ce tout en évaluant simultanément les impacts politiques de ses décisions sur les budgets, le mode de financement, ainsi que la pression des citoyens, car il doit TOUT gérer.Soulignons également la présentation grandement appréciée de Mme Anne-Marie Leclerc, sous-ministre adjointe au ministère des Transports du Québec portant sur un sujet d’actualité : La gestion des actifs routiers : une approche intégrée.CLIQUEZ ICI pour une clin d'oeil sur la programmation  

Projet de loi no 61 - L'AICQ envisage positivement un remboursement volontaire des firmes de génie-conseil pour contribuer à rétablir la confiance

2013-12-18
Québec, le 2 déc. 2013 /CNW Telbec/ - L'Association des ingénieurs-conseils du Québec (AICQ) a donné son appui au programme de remboursement volontaire proposé par le gouvernement aux entreprises de construction et de génie-conseil, lors de son audition aujourd'hui dans le cadre des consultations particulières sur le projet de loi no 61, Loi visant principalement le recouvrement de sommes payées injustement par les organismes publics relativement à certains contrats dans l'industrie de la construction. « Le programme de remboursement volontaire est une bonne initiative du gouvernement, qui s'ajoute à de nombreux gestes significatifs posés par les firmes d'ingénierie au Québec afin de rétablir la confiance, » a déclaré Mme Johanne Desrochers, présidente-directrice générale de l'AICQ. « Il est dans l'intérêt public que le génie-conseil québécois surmonte la crise et devienne un modèle d'intégrité, de professionnalisme et de qualité, et les firmes consacrent déjà des efforts considérables à l'atteinte de cet objectif. » Des changements importants ont été effectués au sein des firmes de génie-conseil au cours des dernières années et plus particulièrement des derniers mois. Parmi les actions au cœur d'une véritable transformation figurent d'importants changements au plus haut niveau des directions de firmes, l'établissement de nouvelles règles de gouvernance, la mise en place de protocoles d'enquêtes internes, la mise sur pied de comités chargés d'assurer la conformité au code de conduite des firmes, des formations afin de renforcer les valeurs éthiques et de responsabilité sociale, etc. Des ajustements proposés au projet de loiL'AICQ a proposé certaines modifications au projet de loi, notamment afin de favoriser la plus grande participation possible des firmes de génie-conseil au programme de remboursement volontaire. Entre autres, l'AICQ propose de fixer la période antérieure couverte par le projet de loi à 10 ans, correspondant à la période de conservation des documents requis par la loi et permettant ainsi une défense de diligence raisonnable à l'encontre de la présomption créée par l'article 3 du projet de loi. L'AICQ demande aussi au gouvernement la possibilité pour les firmes de faire un remboursement pour l'ensemble de leurs contrats, plutôt que contrat par contrat.De plus, l'Association soumet que le projet de loi devrait prévoir une immunité face à des recours parallèles possibles de toute partie, gouvernementale ou pas, visant le même objet, par exemple des recours collectifs. Le mémoire de l'AICQ soulève de nombreuses questions et comprend plusieurs autres commentaires et propositions. Mémoire sur le projet de loi no 61, Loi visant principalement le recouvrement de sommes payées injustement par les organismes publics relativement à certains contrats dans l'industrie de la construction.CLIQUEZ ICI pour consulter le mémoire.À propos de l'Association des ingénieurs-conseils du QuébecFondée en 1974, l'Association des ingénieurs-conseils du Québec (AICQ) regroupe 34 firmes de toutes les tailles, présentes dans toutes les régions du Québec et qui emploient la majorité des employés dans le secteur du génie-conseil au Québec. Ces firmes offrent une gamme variée de services professionnels, allant des études environnementales à la mise en service, en passant par la conception, la préparation des plans et devis et la surveillance des travaux de construction.  www.aicq.qc.ca  

Guide d’élaboration d’un plan d’intervention pour le renouvellement des conduites d’eau potable, d’égouts et des chaussées

2013-12-17
Le premier guide d’élaboration d’un plan d’intervention pour le renouvellement des conduites d’eau potable et d’égouts (PI) a été publié en 2005. Ce guide a grandement contribué à instaurer une pratique émergente à travers tout le Québec. Plus de 1,5 milliard de dollars ont été investis en réfection de conduites et les travaux prioritaires identifiés à ces plans d’intervention ont été en grande partie réalisés. Plusieurs municipalités doivent entreprendre prochainement la mise à jour de leur plan d’intervention. Rappelons que, suivant l’engagement no 43 de la Politique nationale de l’eau, toute demande d’aide financière pour la réalisation de travaux de renouvellement de conduites d’eau potable ou d’égout doit être appuyée par une mise en priorité des travaux à effectuer à partir d’un plan d’intervention.Le ministère des Affaires municipales, des Régions et de l’Occupation du territoire (MAMROT) a confié au Centre d’expertise et de recherche en infrastructures urbaines (CERIU) le mandat de produire un guide révisé pour l’élaboration d’un plan d’intervention. Élaboré par un groupe de travail composé de 29 membres provenant des municipalités, du domaine des infrastructures et de la Direction générale des infrastructures du MAMROT, le nouveau Guide d’élaboration d’un plan d’intervention pour le renouvellement des conduites d’eau potable, d’égouts et des chaussées. Il répond aux demandes des municipalités et a été produit pour leurs besoins, notamment pour une meilleure considération de l’état des conduites pluviales et des chaussées.La méthodologie du guide a fait l’objet d’une validation par la Ville de Gatineau et par l’Université Laval, visant à vérifier l’applicabilité du guide révisé dans quatre villes du Québec. Les villes de Montréal et de Québec, de même que la Fédération québécoise des municipalités (FQM) et l’Union des municipalités du Québec (UMQ) ont également été consultées.Contrairement au guide précédent, le nouveau guide n’a pas pour objectif de produire des plans d’intervention qui ont pour but de déterminer les travaux admissibles dans le cadre des programmes d’aide financière ou du programme de la taxe sur l’essence et de la contribution du Québec (TECQ), mais plutôt d’identifier les travaux prioritaires devant être réalisés par la municipalité. Les critères d’admissibilité seront précisés dans chaque programme, mais tout en tenant compte des données du plan d’intervention produit selon le nouveau guide.Mise en application du guideTous les nouveaux PI soumis au MAMROT à compter du 1er janvier 2014 doivent être préparés selon le nouveau guide. Les municipalités qui n’ont plus de travaux prioritaires selon leur PI approuvé et produit avant le 1er janvier 2011, doivent en produire un nouveau avant de déposer une programmation comprenant des travaux de priorité 3 ou 4 dans le cadre du programme de la TECQ. Les municipalités qui ont un PI approuvé et produit après le 1er janvier 2011 peuvent, jusqu’au 1er mai 2015, ajouter des travaux prioritaires à leur PI actuel en utilisant le mécanisme d’établissement des infrastructures prioritaires du nouveau guide et en fournissant l’information requise. Les municipalités ont jusqu’au 31 décembre 2015 pour présenter des demandes d’aide financière pour des travaux prioritaires identifiés dans leur PI actuel approuvé par le MAMROT.À partir du 1er janvier 2016, un PI préparé selon le nouveau guide sera exigé à toute municipalité qui présentera une demande d’aide financière pour des travaux de renouvellement de conduites d’eau potable ou d’égouts ou pour des travaux de priorité 4 dans le cadre du programme de la TECQ.Admissibilité aux programmes d’aide financière des travaux prioritaires identifiés selon le nouveau guideLes critères d’admissibilité des programmes d’aide financière et de la TECQ seront revus prochainement pour tenir compte des plans d’intervention qui seront produits avec le nouveau guide.Les principaux ajustements qui seront apportés aux critères d’admissibilité sont les suivants:Toutes les conduites d’eau potable et d’eaux usées avec une classe d’interventions intégrées D sont admissibles en priorité 3 dans le cadre du programme de la TECQ (incluant les conduites d’alimentation en eau potable et d’interception des eaux usées).Comme certains travaux de renouvellement de conduites d’eau potable et d’eaux usées peuvent découler des études recommandées (classe d’intervention B) dans les PI préparés selon le nouveau guide, ces études doivent être réalisées avant de déposer une programmation comprenant des travaux de priorité 4 dans le cadre du programme de la TECQ.Toutes les conduites d’eau potable et d’égout avec une classe d’interventions intégrées D sont admissibles au volet 1.5 du PIQM, à l’exception des conduites d’eau potable pour lesquelles une intervention est requise due à un manque de protection contre l’incendie.Pour en savoir plusConsultez le nouveau Guide d’élaboration d’un plan d’intervention pour le renouvellement des conduites d’eau potable, d’égouts et des chaussées