Aller au contenu principal

Éradiquer les nids-de-poule : une recette à trois ingrédients

2017-01-30
[[{"fid":"8328","view_mode":"media_responsive","fields":{"format":"media_responsive","field_file_image_alt_text[und][0][value]":"","field_file_image_title_text[und][0][value]":"","field_folder[und]":"1589"},"type":"media","link_text":null,"attributes":{"width":"100%","style":"max-width:900px;","class":"media-element file-media-responsive"}}]] 
PIERRE GAUTHIER, formateur au CERIU  Les municipalités sont actuellement confrontées à un problème majeur de dégradation de leur réseau routier. Cette situation est attribuable en bonne partie au vieillissement des chaussées, aux sévères effets environnementaux (gel et dégel) ainsi qu’à l’augmentation des charges et du trafic. Les chaussées se dégradent rapidement face à ces sollicitations. L’apparition d’innombrables nids-de-poule en témoigne. Ces trous dans la chaussée nécessitent un entretien palliatif coûteux d’année en année. Le premier ingrédient consiste en une saine gestion des actifs routiers par la mise en place d’un plan d’intervention. La dégradation normale d’une chaussée progresse lentement à ses débuts et s’accentue à partir du moment où elle a atteint une certaine condition, avant l’apparition de nids-de-poule. Durant cette période, les coûts d’intervention, pour remettre la chaussée en bon état, sont relativement bas. Dépassé ce stade, la chaussée se dégrade rapidement et le trop grand nombre de nids-de-poule, entre autres, nécessitent sa reconstruction dont les coûts associés sont d’environ quatre à cinq fois supérieures, à ceux de l’entretien préventif. Le plan d’intervention doit reposer, sur l’évaluation du seuil minimal acceptable avant d’atteindre une détérioration ou une dégradation importante de la chaussée. Ce seuil est évalué généralement à partir de banques de données sur l’état des infrastructures afin de sélectionner les chaussées ayant le meilleur potentiel pour une prolongation de leur durée de vie. Les programmes qui en découlent permettent d’intervenir au moment opportun à l’aide de techniques d’entretien préventif (traitement des fissures, réparation des lézardes, correction des endroits prévus pour l’écoulement des eaux, ainsi que des opérations de planage et de repavage), pour allonger le cycle de vie de ces infrastructures de surface. Le deuxième ingrédient se définit par la conception de structures de chaussée adaptées à notre contexte. Une grande partie des réseaux routiers au Québec sont composés de structures de chaussées flexibles qui ont été conçues selon d’anciennes méthodes empiriques. Face aux sollicitations causées par le trafic lourd, l’enrobé bitumineux de surface est souvent très sollicité par des efforts répétitifs, entraînant la rupture du revêtement bitumineux qui se fissure par fatigue. De plus, les contraintes transmises par les pneus des véhicules aux couches de matériaux granulaires ainsi qu’au sol support, engendrent leurs tassements qui se manifestent sous forme d’ornières à la surface de la chaussée. Par ailleurs, les conditions climatiques génèrent des variations importantes de la teneur en eau à l’intérieur du matériau granulaire et du sol support, surtout en période de dégel. Il en résulte l’affaiblissement de la capacité portante qui peut diminuer d’environ 35 à 40 %, par rapport à celle en période estivale. La conception des structures de chaussée doit se faire à l’aide d’une approche dite mécanistique. Cette approche permet de recréer le plus fidèlement possible le fonctionnement mécanique de la structure de chaussée. À l’aide de celle-ci, on détermine les sollicitations sous forme d’élongation en tension à la base des couches du revêtement ainsi que les déformations que subit le matériau granulaire de la chaussée et du sol support. Ces sollicitations sont par la suite comparées aux valeurs admissibles. Enfin, l’utilisation de matériaux traités (grave émulsion, grave bitume et grave ciment), qui comporte généralement des matériaux recyclés (ancien pavage et trottoirs désuets) apporte beaucoup d’avantages. Ils sont résistants, économiques et imperméables à l’eau, donc insensibles au gel. Le dernier ingrédient réside dans l’application des bonnes pratiques pour la réalisation et l’exécution des travaux. Dans plusieurs cas, les opérations pour la pose d’une colle entre la couche de base et la couche de roulement du revêtement bitumineux ne suivent pas les règles de l’art. La confection des joints entre les différentes lisières de pavage présente souvent des imperfections qui contribuent à la pénétration de l’eau dans la structure de la chaussée, à moyen terme. Finalement, il n’est pas rare de constater que la pose de l’enrobé bitumineux se fait par temps froid, ce qui affecte grandement sa qualité. Si vous voulez en apprendre davantage sur la recette proposée, nous vous invitons à suivre les cours de formation continue suivants: CoursInstitutionDateEndroitConception et dimensionnement de chaussées municipalesUniversité Laval16 et 17 février 2017QuébecCarrefour Perfectionnement Polytechnique2 et 3 mars 2017Montréal*Gestion des actifs urbains d’infrastructures de surfaceCentre d’expertise et de recherche en infrastructures urbaines (CERIU)24 février 2017Montréal27 février 2017Québec * : Aussi offert en ligne au cours du mois de mars 2017

Une Rencontre des municipalités efficaces de catégorie internationale à Montréal

2017-01-13
Montréal, le 13 janvier 2017. De portée internationale pour sa 7e édition, la Rencontre des municipalités efficaces renseigne les décideurs et allie les solutions expérimentées dans le monde et celles développées au Québec. La Rencontre attend entre 300 et 400 participants et s’articulera autour de cette essentielle équation écoénergétique des villes et des territoires avec la philosophie des 3D - décarbonisation, digitalisation et décentralisation. L’honorable Denis Coderre, maire de Montréal, est le président d’honneur de la 7e Rencontre internationale des municipalités efficaces (RIME). « Aujourd’hui, des initiatives à petite et grande portée sont déjà en cours dans nombre de villes sur la planète. La cible est de résoudre cette équation et d’atteindre la nécessaire maîtrise de l’énergie qui placera nos sociétés urbaines sur la voie de la durabilité et de la résilience. Venir contribuer au débat, apporter ses solutions et des recommandations à cet événement organisé par l’AQME est une opportunité à ne pas manquer », soutient-il. Les gouvernements locaux dans la mire des solutions Décembre 2015 a été marqué par l’engagement politique planétaire à travers la COP21 (Paris, France) à résoudre les problèmes liés aux changements climatiques. La COP22 qui se déroulait à Marrakech (Maroc) avait comme défi le passage à l’action. Habitat III, une conférence organisée par l’ONU, vient de se clore à Quito en lançant le Nouvel agenda urbain. Monsieur Denis Coderre, maire de Montréal est clair sur le sujet. « Le fait marquant parmi ces rencontres est sans nul doute la reconnaissance du rôle primordial des gouvernements locaux pour faire face aux changements drastiques provoqués par les changements climatiques et les dégradations environnementales diverses. C’est indéniable ! » Jean Lacroix, PDG de l’AQME précise à cet effet que « le premier constat est que les modèles devront évoluer pour s’adapter, s’améliorer et s’optimiser afin de coupler maîtrise de l’énergie et intelligence des villes. Les solutions s’inscrivent dans le portefeuille d’innovation qui touche à la fois l’intégration technologique, les modèles d’affaires, la gouvernance, ainsi que des modèles financiers et d’investissement. » C’est dans cette lignée que Montréal sera l’hôte de  la 7e Rencontre internationale des municipalités efficaces le 21 et 22 mars 2017. Une Rencontre faite pour les municipalités La Rencontre se déroulera sous les thèmes de la résilience des villes, de la nouvelle économie verte en pleine ascension, et des modèles financiers qui permettront aux municipalités d’exercer leur nouveau rôle de leader territorial. Urbanisme et aménagement du territoire, transport, infrastructures, optimisation des consommations énergétiques, production d’énergie renouvelable, etc. seront traversés sous ces trois thèmes afin d’explorer les solutions offertes aux décideurs d’aujourd’hui. La rencontre des idées et des solutions sera le leitmotiv de l’événement dédié à la cause municipale et à la maîtrise de l’énergie. L’événement est présenté dans le cadre d’Americana, le Salon international des technologies environnementales organisé par Réseau Environnement, dont la grande thématique est De l’Innovation à l’action. Des partenaires impliqués La Rencontre internationale des municipalités efficaces est rendue possible grâce à de nombreux et précieux partenaires, dont ses principaux, sont : la Ville de Montréal, Fondaction CSN, Future Earth, Réseau environnement, Dunsky Expertise en Énergie et l’Institut EDDEC. À propos de l’Association québécoise pour la maîtrise de l’énergie Depuis 1985, l’AQME a fait des enjeux d’efficacité énergétique son cheval de bataille et elle est devenue aujourd’hui une référence incontournable en matière d’efficacité énergétique dans une perspective de développement durable. Il s'agit d'un organisme à but non lucratif, neutre, indépendant et privé qui rassemble aujourd’hui près de 800 membres provenant de tous les horizons. Tout en étant un carrefour d’intervenants qui mettent en commun leurs expériences et leurs connaissances, l'AQME œuvre activement à la promotion de l'efficacité énergétique en faisant la diffusion des meilleures pratiques et des innovations dans le domaine tout en aidant les utilisateurs d'énergie à entreprendre des projets. -30- Plus d’information : Marie-Eve PaquetResponsable des communications, AQMEmepaquet@aqme.org C. 514-618-5995T. 514-866-5584 poste 231

Réseau Environnement annonce la mise en place d’un système québécois de traçabilité des sols contaminés

2016-12-08
Montréal, le 7 décembre 2016 – À l’occasion du Colloque Sols et Eaux souterraines qui se déroule à Sherbrooke aujourd’hui, Réseau Environnement (RE) annonce la mise sur pied d’un système volontaire de traçabilité des sols contaminés. RE a lancé cette semaine la première étape de ce système, soit l’étude des modèles de traçabilité les plus performants à travers le monde. Dès juin 2017, les entreprises seront invitées à inscrire dans un registre, de manière volontaire, tout sol contaminé extrait et envoyé vers un centre de traitement ou dans un autre lieu. « Ce projet arrive d’une volonté du milieu de trouver des solutions à l’enfouissement illégal et à l’exportation hors Québec de nos sols contaminés. Le Québec a toute l’expertise nécessaire pour traiter les sols contaminés, que ce soit sur site ou encore dans la vingtaine de centres de traitement présents à travers la province », a affirmé Jean Lacroix, président-directeur général de Réseau Environnement. Réseau Environnement travaille depuis plusieurs années à trouver des solutions à la disposition illégale des sols contaminés et entend collaborer avec les partenaires de l’industrie ainsi que le ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques dans l’élaboration du système de suivi. À propos de Réseau Environnement Réseau Environnement est un organisme à but non lucratif existant depuis plus de 50 ans et représente plus de 2 700 membres experts en environnement au Québec. Il est l’initiateur et l’organisateur d’AMERICANA, du Salon des technologies environnementales du Québec, publie le magazine Vecteur Environnement et prend position sur de nombreux dossiers dans les secteurs d’activités que sont l’Eau, l’Air et les Changements climatiques, les Matières résiduelles, les Sols et les Eaux souterraines, ainsi que la Biodiversité. - 30 - http://bit.ly/2h6uqyP Source : Réseau EnvironnementChristine BérubéDirectrice des communications et du marketingTél. : 514 270-7110 poste 325 | Cell. : 514-616-8481 | cberube@reseau-environnement.com  

Gaz Métro et la Fédération québécoise des municipalités mettent leur énergie en commun et concluent une entente pour améliorer la gestion de leurs infrastructures publiques

2016-12-06
Montréal, le jeudi 1er décembre 2016 – Gaz Métro et la Fédération québécoise des municipalités (FQM) sont heureuses d’annoncer la conclusion d’une entente pour faciliter la gestion des interventions liée à leurs réseaux d’infrastructures urbaines. Celle-ci clarifie, entre autres, les conditions d’intervention, d’installation et d’exploitation du réseau de distribution gazier de Gaz Métro sur le territoire des municipalités qui adhèreront à l’entente. La signature officielle s’est déroulée aujourd’hui en présence de plusieurs représentants municipaux dans le cadre de l’Assemblée des MRC organisée par la FQM. « Nous sommes très heureux à la FQM de constater que Gaz Métro a tenu compte des préoccupations de nos membres quant au bon déroulement des travaux sur notre territoire, affirme monsieur Richard Lehoux, président de la FQM. Cette entente, élaborée de concert avec Gaz Métro, établit un cadre clair de concertation entre nos municipalités et Gaz Métro. Elle permettra certainement d’améliorer l’efficience des activités réalisées et la qualité de nos relations. »Les municipalités membres de la FQM qui adhèreront à l’entente, ainsi que Gaz Métro bénéficieront désormais d’un cadre favorisant une gestion uniforme et harmonieuse des interventions. Elle prévoit notamment un partage équitable des coûts entourant la présence et la gestion des activités de Gaz Métro. Les municipalités qui y adhéreront recevront en effet un montant forfaitaire annuel qui tient compte des impacts entourant les travaux de Gaz Métro, lequel sera calculé conformément aux conditions de l’entente. « Gaz Métro se réjouit de la conclusion de cette entente qui apporte des solutions concrètes et satisfaisantes aux besoins exprimés par les municipalités. Partenaire du développement économique des municipalités, Gaz Métro est sans cesse à la recherche de meilleures façons de faire; nous sommes convaincus que cette entente facilitera et renforcera la qualité des relations que nous entretenons avec celles-ci », a affirmé Stéphane Santerre, directeur principal de l’exploitation chez Gaz Métro.Gaz Métro en brefComptant plus de 7 milliards de dollars d’actifs, Gaz Métro est un important distributeur d’énergie. Principale entreprise de distribution de gaz naturel au Québec, elle y exploite un réseau de conduites souterraines de plus de 10 000 km qui dessert plus de 300 municipalités et rejoint plus de 200 000 clients. Gaz Métro est aussi présente au Vermont où elle dessert plus de 310 000 clients. Elle y est active sur le marché de la production d’électricité et sur celui de la distribution d’électricité et de gaz naturel. Gaz Métro s’implique dans le développement et l’exploitation de projets énergétiques porteurs et novateurs tels que le gaz naturel comme carburant et le gaz naturel liquéfié en remplacement d’énergies plus émissives, la production d’énergie éolienne et la valorisation du biométhane. Gaz Métro est un joueur clé du secteur énergétique qui prend les devants pour répondre aux besoins de ses clients, des régions et municipalités, des organismes communautaires et des collectivités, en plus de répondre aux attentes de ses associés (GMi et Valener) et de ses employés. Fédération québécoise des municipalités en brefDepuis sa fondation en 1944, la Fédération québécoise des municipalités s’est établie comme l’interlocuteur incontournable des municipalités et des régions du Québec. Visant constamment à défendre l’autonomie municipale, elle privilégie les relations à l’échelle humaine et tire son inspiration de l’esprit de concertation et d’innovation de ses quelque 1 000 municipalités et MRC membres. - 30 -  Pour plus de renseignements :Gaz MétroMaude Hébert-ChaputCommunications et Affaires publiques514 598-3449mhebert-chaput@gazmetro.com 
Fédération québécoise des municipalités
David JuneauConseiller en relation avec les médias418 651-3343, poste 263581 309-7093djuneau@fqm.
   

Discours de Jean-Pierre Villeneuve, professeur à l' INRS ETE et gouverneur du CERIU

2016-11-29
Prononcé dans le cadre du Congrès INFRA 2016, le 22 novembre lors de la remise des Prix du CERIU Invités d’honneur, mesdames et messieurs, D’abord merci Alain pour ces mots, tu m’as rappelé bien des choses que j’avais presque oubliées. Ça me rappelle aussi que le temps passe vite. Personnellement, j’ai une relation amour-haine avec les reconnaissances. Ça arrive la plupart du temps quand vous avez un certain âge. Souvent, ça vient vous dire qu’il est temps de laisser la place à plus jeune. Ce que je ferai cette année en cédant ma place au CERIU à ma collègue et néanmoins amie Sophie Duchesne. En même temps, je suis content. C’est vrai que ça fait un petit velours quand on reconnaît ce que vous avez fait. Que l’on vous dit officiellement que l’on a apprécié votre contribution bénévole à un organisme. Au cours de mes 50 années de carrière comme professeur et chercheur, je me suis beaucoup impliqué dans des problématiques reliées aux infrastructures. J’ai travaillé entre autres sur la gestion en temps réel des débordements des réseaux unitaires, sur le vieillissement des infrastructures d’eau, sur la problématique des bris de conduites, et sur l’évaluation des coûts de l’eau et de la mise à niveau des réseaux. Il était donc tout naturel pour moi de m’impliquer au niveau du CERIU en tant que représentant de l’INRS. J’ai rejoint au CA du CERIU un regroupement de bénévoles qui n’ont pas ménagé et ne ménagent pas leurs efforts pour faire avancer la cause des infrastructures et assurer la survie du CERIU. Au CERIU, il y a des pionniers, des ouvriers de la première heure à l’exemple d’Alain Soucy et de Serge Boileau qui m’ont motivé par leur implication et leur acharnement à défendre la cause des infrastructures et en particulier celle du CERIU. À tous ceux-là, je leur dis bravo. Au cours de ces 15 années où j’ai siégé au CA la situation du CERIU n’a pas toujours été facile et les appuis ne venaient pas toujours d’où ils auraient dû venir. Il est très difficile dans certains milieux de faire reconnaître et admettre l’importance du rôle que joue le CERIU par rapport aux infrastructures. Heureusement, on a eu quelques défenseurs, je n’en nommerai pas de peur d’en oublier. S’ils sont ici, ils se reconnaîtront et certains parmi vous sont capables de les identifier. Je leur rends hommage. J’aurais pu vous faire un long discours sur l’importance des infrastructures, sur leur état, sur les investissements nécessaires à leur mise à niveau et à leur entretien. J’aurais pu aussi vous parler de l’importance et du rôle majeur que joue le CERIU. Le fait que vous soyez ici démontre que vous êtes déjà des convaincus. Je m’en abstiendrai donc. En terminant, c’est donc avec émotions et humilité que j’accepte cet honneur d’être nommé Gouverneur du CERIU. J’espère dans ce nouveau statut qui m’est attribué pouvoir encore contribuer à l’avancement du dossier des infrastructures. Soyez aussi certain que je ferai encore de mon mieux pour contribuer aux succès du CERIU. Merci au CERIU pour cette reconnaissance. Merci de votre attention et longue vie au CERIU.   

Le CERIU décerne ses prix d'excellence 2016

2016-11-28
Les prix d’excellence du CERIU reconnaissent l’engagement soutenu de collègues et d’organisations à promouvoir le développement durable et économique des réseaux d’infrastructures municipales et à appuyer la mission du centre. Le 22 novembre dernier, cinq prix d’excellence et de reconnaissance ont été décernés dans les catégories suivantes : M. Jean-Pierre Villeneuve est devenu Gouverneur du CERIU. Cette nomination lui a été conférée par le conseil d'administration du CERIU pour sa disponibilité et l’ensemble de sa contribution au développement du Centre, depuis près de 15 ans.  Comme membre du conseil d’administration à titre de vice-président institutionnel et membre du comité exécutif, il a participé à de nombreuses réunions durant une période difficile où le CERIU a dû se remettre en question et voir à faire un meilleur suivi de ses activités et de ses ressources financières. Il a également participé à plusieurs démarches auprès du ministère des Affaires municipales et de l’Occupation du territoire pour supporter les demandes financières du CERIU et défendre sa mission. Connu pour son sens critique et son franc-parler, M. Villeneuve a pu apporter, grâce à son expérience,  une  contribution significative aux débats de nombreuses réunions du CERIU. Digne représentant de l’INRS au sein du CERIU, M. Villeneuve n’a pas ménagé ses efforts pour que son institution participe aux activités du CERIU et contribue annuellement au financement du Congrès INFRA.  + Lire le discours de M. Villeneuve prononcé dans le cadre de cette remise. Le Prix Ambassadeur a été décerné à M. Ghislain Bélanger, Ville de Repentigny pour son travail soutenu aux défis que pose le développement durable, performant et harmonieux de l’espace public. Notre récipiendaire est connu pour sa vision intégrée, son approche collaborative et ses talents de négociateur largement démontrés à la Table de concertation municipale de l’Union des municipalités du Québec et au conseil permanent Réseaux techniques urbains. Son apport a grandement influencé l’avancement de dossiers stratégiques pour le CERIU et l’ensemble des collectivités.  Le Prix Membre émérite du CERIU dans la catégorie Institutionnel récompense Mme Nathalie Lasnier, Tubécon afin de souligner sa défense des intérêts et son dévouement indéfectible qui en font une alliée indispensable aux instances et à la mission du CERIU, ainsi que pour sa neutralité et capacité à proposer des solutions adaptées aux défis de la saine gestion des infrastructures municipales.  Le Prix Membre émérite du CERIU dans la catégorie Municipal a été décerné à M. France Bernard, ville de Montréal,  une personnalité qui a apporté un soutien notable au CERIU. Nous soulignons sa contribution exceptionnelle au rayonnement du CERIU tant au niveau national qu’international, son appui inébranlable à sa mission et son dévouement au sein du conseil permanent Infrastructures de surface. Le Prix Membre émérite du CERIU dans la catégorie Corporatif a été remis à Mme Marie Bernier Roy, Soleno. Celle-ci  est récompensée pour son rôle actif à titre de déléguée par le CERIU pour siéger au comité de révision de la norme BNQ 3221-500 sur les ouvrages en fonte pour les travaux de génie civil. Son soutien à l’avancement des techniques d’auscultation et à l’amélioration des pratiques en matière de saine gestion des réseaux d’infrastructures; Sa présence assidue et son apport important qui contribuent grandement à l’avancement du CERIU dans ce secteur. Son dynamisme et professionnalisme qui solidifient les liens de confiance du CERIU avec l’ensemble des milieux; Son leadership qui a assuré l’avancement du Guide d’intégration de la gestion durable des eaux pluviales dans l’aménagement d’un site.  

Record de représentants municipaux - 1498 spécialistes au Congrès INFRA 2016

2016-11-28
C’est sous la présidence d’honneur de M. Lionel Perez, conseiller de ville, membre du comité exécutif, responsable des infrastructures, de la Commission des services électriques, de la gouvernance, de la démocratie et des relations gouvernementales de la ville de Montréal que s’est ouverte la 22e édition du Congrès INFRA, organisée par le Centre d’expertise et de recherche en infrastructures urbaines (CERIU), du 21 au 23 novembre, au Palais de congrès de Montréal. Ce Congrès avait pour thème « L’innovation et l’intégration des compétences au service des collectivités». De l’avis de tous, M. Perez fut un président exemplaire! Se faisant un devoir d’interroger et d’échanger avec les participants sur les enjeux d’un développement urbain, durable et harmonieux. Il a également visité chacun des exposants s’intéressant aux dernières avancées technologiques ou aux divers matériaux présentés. En quelques chiffres, le congrès INFRA 2016 a mobilisé 1498 spécialistes sur trois jours! Atteignant une audience record de représentants municipaux avec un taux de participation de 43 % comparativement à 39 % d'entreprises, 2 % du gouvernement et 16 % d’universités et de centres de recherche. Au total, c'est plus de 145 conférenciers du Québec, du Canada, des États-Unis et d’Europe qui ont présenté dans l'une des 17 sessions de conférences tandis que le salon de l'exposition a offert une tribune à 50 entreprises ainsi qu'à leurs produits et derniers développements technologiques.  Un programme pertinent, attractif et innovant Selon la présidente du comité organisateur Mme Anna Polito, la programmation 2016 a témoigné de l’effervescence en plein essor des spécialistes du développement urbain et a permis aux congressistes de bénéficier d'un moment privilégié pour porter attention sur ce qui s’y passe. Ceux-ci ont ainsi pu en apprendre plus sur les meilleures initiatives pratiques dans plusieurs domaines dédiés aux infrastructures ainsi que sur les façons d’anticiper, de planifier, d’entretenir et de développer les réseaux d’infrastructures dans une perspective de développement durable.  Ce congrès a permis aux participants d’acquérir des connaissances issues de la recherche appliquée et de pratiques concrètes, mais aussi de transmettre ce qu’ils font en profitant le l’opportunité de rencontrer d’une manière informelle leurs pairs. On y a traité d’approches éprouvées et d’outils technologiques dans les secteurs de : l’aménagement urbain durable, l’aménagement routier, la gestion des actifs, la gestion de l’eau potable, la gestion des eaux usées et pluviales, les réseaux techniques urbains, les infrastructures de surface, les infrastructures souterraines.  Soulignons comme le suggère le thème d’INFRA 2016, les aspects de l’innovation et de l’intégration des compétences qui ont eu une place prépondérante au programme. Dès l’ouverture, les congressistes ont pu découvrir des technologies de pointe qui s’imposeront dans un avenir proche. Par la suite, ils ont eu l'opportunité d'échanger avec visionnaires sur les possibilités que possèdent les municipalités pour tirer parti de l’innovation tout en contribuant aux défis de viabilités économiques, d’intégration au milieu de vie et d’acceptabilité sociale. On a également permis aux spécialistes d’en connaître davantage sur l’avancement des programmes gouvernementaux, tels que le Portrait des infrastructures en eau des municipalités du Québec et d’autres outils spécialement conçus pour aider les municipalités à mieux identifier et planifier leurs besoins de financement à long terme et parvenir à maintenir et à améliorer leurs réseaux d’infrastructures. La presque totalité des présentations sera disponible dans la bibliothèque du CERIU au www.ceriu.qc.ca/bibliotheque ainsi que les présentations vidéo, sans frais pour les membres et les participants d’INFRA 2016 dès la mi-décembre 2016. Merci aux bénévoles et partenaires engagés Pour l’organisation du Congrès INFRA 2016, Mme Anna Polito, présidente du comité organisateur a bénéficié du support de plus de vingt-cinq d’intervenants dédiés aux infrastructures municipales. Merci également aux partenaires du Congrès INFRA 2015 dont : Ministère des Affaires municipales et de l’occupation du territoire, la Ville de Québec, Ville de Montréal, Ville de Longueuil, Ville de Laval, Clean Water Works, Gaz Métro, Ipex, Planifika, Aco, École de technologie supérieure, Hydro-Québec et la Commission des services électriques de Montréal, MCM intégration, Sanexen et à tous les autres commanditaires. – 30 – Source et information :
Stéphanie Boivin
Coordonnatrice en communication, CERIU
Tél. : 438 497-6677   
Courriel : stephanie.boivin@ceriu.qc.ca
   

Pourquoi il devient impératif de se doter d’un outil d’auscultation pour les voies cyclables?

2016-10-20
Souvent lorsqu’il est question d’auscultation des infrastructures de surface, on pense aux chaussées. Pourtant, l’auscultation des voies cyclables est un élément incontournable essentiel à la sécurité des cyclistes et au développement urbain. En effet, avec l’augmentation fulgurante de cyclistes qui est passée de 1,6 million à 2 millions d’adultes en dix ans, selon Vélo Québec, la qualité du réseau cyclable est devenue un facteur déterminant. Conscient des besoins touchant les questions d’entretien des réseaux cyclables des municipalités du Québec, le CERIU travaille à la réalisation d’un Guide qui propose d’apporter des solutions à cet enjeu. Le 8 septembre dernier s’est déroulée la première rencontre du comité de travail « Guide d’auscultation des voies cyclables ». Pierre Gauthier, chargé de projet et spécialiste dans le domaine des chaussées et Maéva Ambros ing. jr, responsable du conseil permanent Infrastructures de surface au CERIU vous proposent un tour d’horizon sur l’ensemble de ce projet. [[{"fid":"6684","view_mode":"media_responsive","fields":{"format":"media_responsive","field_file_image_alt_text[und][0][value]":"","field_file_image_title_text[und][0][value]":"","field_folder[und]":"1589"},"type":"media","link_text":null,"attributes":{"width":"100%","style":"max-width: 744px; margin: 0px auto;","class":"media-element file-media-responsive"}}]] Auteurs [[{"fid":"6686","view_mode":"media_browser","fields":{"format":"media_browser","field_file_image_alt_text[und][0][value]":"","field_file_image_title_text[und][0][value]":"","field_folder[und]":"1589"},"type":"media","link_text":null,"attributes":{"height":"100","width":"100","style":"width: 100px; height: 100px; float: left; margin-right: 15px; margin-bottom: 15px;","class":"media-element file-media-browser"}}]]Pierre Gauthier a obtenu une maîtrise dans le domaine des chaussées à l’Université Laval et il a travaillé pour la Ville de Québec pendant 30 ans, dont dix à titre d’ingénieur coordonnateur. Il a œuvré à la planification et à la réalisation de projets municipaux d’envergure, tout en étant membre ou partenaire de plusieurs comités de recherche universitaire ou d’organismes externes (AIPCR, CERIU, CNRC, SHRP et UMQ). Ceci lui a permis d’acquérir des compétences particulières dans la gestion des actifs urbains ainsi que la conception et le dimensionnement de chaussées municipales. Il a d’ailleurs donné plusieurs conférences et coordonné des projets de développement de méthodes et de techniques innovantes qui ont fait l’objet de divers prix, mentions et distinctions.
 
[[{"fid":"6687","view_mode":"media_browser","fields":{"format":"media_browser","field_file_image_alt_text[und][0][value]":"","field_file_image_title_text[und][0][value]":"","field_folder[und]":"1589"},"type":"media","link_text":null,"attributes":{"height":"100","width":"80","style":"width: 80px; height: 100px; float: left; margin-bottom: 15px; margin-right: 15px;","class":"media-element file-media-browser"}}]]Maéva Ambros, ingénieure junior, est responsable du conseil permanent Infrastructures de surface au CERIU. Celui-ci a pour objectif d’appuyer et de soutenir le développement de l’expertise et des meilleures pratiques en matière de développement durable pour les infrastructures municipales de surface, par des activités de normalisation, de diffusion, de formation, de recherche, de veille et de transfert technologique.   Questions et réponses 1. Pourriez-vous nous dresser le contexte de ce projet? Maéva Ambros (MA) : Ce projet répond à une demande du conseil permanent Infrastructures de surface. En effet, lors des discussions sur les enjeux actuels, un constat s’est fait assez rapidement : de nombreuses pistes cyclables sont construites afin de répondre au besoin grandissant d’infrastructures de ce type, mais il y a encore trop peu de démarches réalisées pour penser à « l’après-construction ». Pierre Gauthier (PG) : Plusieurs voies cyclables ont été construites, il y a déjà près de 30 ans et bon nombre d’entre elles commencent à montrer des signes de dégradations avancées. Il devient donc impératif de se doter d’un outil d’auscultation tel qu’un guide, afin de pouvoir diagnostiquer les problèmes et d’y appliquer les bons traitements. 2. Qu’est-ce qui vous motive dans ce projet? PG : L’élaboration d’un guide d’auscultation des voies cyclables constitue une partie importante de la gestion des actifs afin d’assurer la pérennité d’une infrastructure qui est très utile aux nombreux cyclistes et autres utilisateurs des municipalités. Le Guide permettra la normalisation de méthodes d’auscultations et restera sûrement une référence, pour les années à venir. 3. Quels sont les défis principaux qui seront à relever lors de la rédaction du guide ? PG : On veut s’assurer que les relevés incluent les défauts qui sont les plus pertinents pour en arriver à un poser un diagnostic adéquat. L’identification du type, de l’étendue et de la sévérité des défauts à relever doit se faire judicieusement pour assurer à la fois le bon état des voies cyclables et la sécurité de celles-ci. 4. En attendant la publication du Guide, auriez-vous des documents en lien avec ce projet à conseiller ? PG : Le guide de mesure et d’identification des dégradations des chaussées souples du Ministère des Transports, de la Mobilité durable et de l'Électrification des transports (MTMDET) est une bonne référence à consulter. MA : Pour ceux qui sont intéressés par la planification, la réalisation et l’entretien des aménagements, Vélo Québec a réalisé une publication technique riche en informations « Aménagements en faveur des piétons et des cyclistes ». 5. Qui sont les contributeurs de ce projet et qui participe au comité de travail ? MA : Nos contributeurs financiers sont la Ville de Montréal, la Ville de Québec, l’Association des Constructeurs de routes et grands travaux du Québec (ACRGTQ) et la municipalité de Saint-Charles-Borromée. Les participants sont Marc Panneton du ministère des Transports, de la Mobilité durable et de l'Électrification des transports (MTMDET), Florian Lafage ing., de l’Association des constructeurs de routes et grands travaux du Québec (ACRGTQ), Jean Carrier ing., de la Ville de Montréal et Steve Briand de la Ville de Québec. L’implication financière ou technique des différents organismes et villes cités ci-dessus illustre bien qu’il y a un besoin à combler dans ce domaine. Le CERIU est ravi de pouvoir travailler en collaboration avec ces acteurs du milieu. 6. Quelles sont les futures étapes pour ce projet ? MA : Le guide d’auscultation devrait être disponible au printemps 2017. Nous aimerions beaucoup poursuivre sur cette belle lancée en réalisant un guide complémentaire traitant des techniques et des critères d’intervention spécifiques aux voies cyclables. Je me permets de lancer un avis aux intéressés : nous sommes en recherche de financement ! Pour toutes questions sur ce projet, vous pouvez contacter Mme Maéva Ambros à son adresse courriel : maeva.ambros@ceriu.qc.ca

Nouvelle publication du conseil permanent Réseaux techniques urbains

2016-10-18
Montréal - Le Centre d’expertise et de recherche en infrastructures urbaines (CERIU) et son conseil permanent Réseaux techniques urbains (CP RTU) sont fiers d’annoncer la publication du Rapport de l’analyse des risques financiers en enfouissement des réseaux câblés. Rédigé par un comité de travail formé de représentants de trois entreprises RTU, de deux municipalités, de la Commission des services électriques de Montréal (CSEM) et de Solutions Modex, le Rapport permet une évaluation comparative chiffrée et la mise en perspective d’alternatives de reconstruction d’infrastructures de réseau aérien, souterrain et mixte. Ces alternatives sont basées sur les coûts réels de l’ensemble du cycle de vie des infrastructures de manière à permettre l’optimisation des stratégies d’intervention. Soulignons que des paramètres précis ont été considérés dans l’analyse des coûts sur le cycle de vie des infrastructures. De plus, le rapport est accompagné d’une application informatique  permettant aux utilisateurs de procéder à diverses simulations selon leurs contextes particuliers. Celle-ci a été réalisée par l’entreprise Solutions Modex spécialisée en analyse financière de projets municipaux. La réalisation de ce rapport a favorisé l’émergence de pistes de solutions prometteuses en matière d’enfouissement des réseaux câblés. Premièrement, en considérant l’importance des coûts civils de l’enfouissement, il apparait que toute réduction de coût du civil souterrain aura un impact direct sur la comparaison avec l’option aérienne. En second lieu, il semble qu’une discussion entre les municipalités et les entreprises de RTU pour convenir du principe d’acceptabilité sociale des réseaux aériens en milieu urbain dense pourrait être prometteuse. Finalement, les coûts de projets d’enfouissement sont majeurs pour les municipalités, il est donc important de poursuivre la sensibilisation des entreprises de RTU à cette réalité pour convenir du programme de partage de coûts sur une base permanente ou plus ou moins à long terme. Source et informations :
Salamatou Modieli Amadou,514 848-9885, poste 236   
communication@ceriu.qc.ca    

Mise en ligne de l’outil de validation des données des plans d’intervention en version exécutable EXE

2016-10-06
Le CERIU est fier d'annoncer la mise en ligne de l'application DiagnosticPI, un outil de validation des données des plans d’intervention. L’application DiagnosticPI s’adresse aux municipalités du Québec, à leurs consultants et éventuellement à toute personne ressource devant produire un plan d’intervention. Cette application a été développée par le CERIU dans le cadre du projet Portrait des infrastructures en eau des municipalités du Québec financé par le Programme de recherche appliquée dans le domaine des infrastructures municipales (PRADIM), volet Recherche et Planification du Fonds Chantiers Canada-Québec. Sans se substituer à l’analyse des responsables en charge d’un plan d’intervention, cette application exécutable a pour objectif principal de fournir une assistance automatisée dans la détection des incohérences (données descriptives manquantes, indicateurs non conformes, etc.) et des anomalies notées dans les plans d’intervention des municipalités du Québec. Dans quelques semaines, une version web sera disponible et opérationnelle sur le site internet du CERIU, sans que vous ayez à installer l’application. Une démonstration de DiagnosticPI sera également réalisée lors du Congrès INFRA 2016, mardi le 22 novembre prochain. Veuillez noter que l’utilisation de cet outil de validation des données n’est pas une exigence à la présentation de votre plan d’intervention. Ainsi, d’autres outils ou méthodes de validation peuvent aussi bien répondre adéquatement aux besoins de préparation des plans d’intervention. Pour toutes questions ou suggestions concernant l’utilisation de l’outil DiagnosticPI, vous pouvez nous contacter par courriel à infrastructures@ceriu.qc.ca ou par téléphone au 514 848-9885. Téléchargez l'application DiagnosticPI

Nouvelles des programmes de certification PACP® et MACP ® CERIU-NASSCO

2016-10-06
Arrivée de la version 7.0.2 des programmes PACP® et MACP®Les protocoles PACP ® et MACP® sont en constante évolution pour mieux répondre aux besoins des intervenants du domaine de l’inspection télévisée des conduites et des regards d’égout.  En effet, exactement un an après la parution de la version 7.0.0 des protocoles, le CERIU met à la disposition des utilisateurs, la nouvelle version 7.0.2 qui intègre des améliorations suggérées lors de l’utilisation de la version précédente. Les personnes ayant déjà suivi le cours ou acheté le manuel version 7.0.0 recevront prochainement les pages des mises à jour à remplacer dans leurs manuels. Il est également possible pour les personnes certifiées et les municipalités d’acheter la nouvelle version en format PDF.Pour vous inscrire, consulter le calendrier de formation  Nouvelles directives sur la certification MACP®Les certifications PACP® et MACP® des opérateurs et analystes leur donnent les droits et les privilèges d’utiliser les protocoles d’inspection télévisée pour une durée de trois (3) ans à partir de la date de l’obtention. Après cette période, une recertification est nécessaire pour continuer à garder leurs connaissances à jour et pour conserver leurs droits d’utilisation. À partir de septembre 2016, de nouvelles directives concernant la validité de la certification MACP® seront appliquées. Cette dernière sera dorénavant tributaire de la certification PACP®. Cela implique que l’expiration de la certification PACP® entraine automatiquement celle du MACP®, et ce, même si la formation MACP® a été suivie quelques mois voire une année après la formation PACP®. Par conséquent c’est la date d’expiration du PACP® qui s’applique au MACP®.  Rappel des critères de certification-    Le cours PACP® est un préalable au cours MACP®.-    Certification  PACP® (version 7.0.2) exige deux journées de formation et la réussite d’un examen de passage.-    Certification  MACP® (version 7.0.2) exige une 1/2 journée de formation et la réussite d’un examen de passage.-    Recertification PACP® exige une journée de formation et la réussite d’un examen de recertification. La note de passage de tous les examens est de 85 %.

L’innovation urbaine au cœur du programme du Congrès INFRA 2016

2016-10-03
Le Congrès INFRA 2016, porteur de l’expertise et de l’innovation dans le secteur des infrastructures municipales au Québec, se tiendra du 21 au 23 novembre au Palais des congrès de Montréal. Présidé par Lionel Perez, membre du comité exécutif, responsable des infrastructures, de la Commission des services électriques, de la gouvernance, de la démocratie et des relations gouvernementales de Montréal, le Congrès accueillera 1500 spécialistes, ingénieurs, techniciens, urbanistes, décideurs et autres spécialistes pluridisciplinaires du développement urbain, sous le thème « Innovation et intégration des compétences au service des collectivités ». Un programme à découvrir! La programmation 2016 saura plaire aux spécialistes interpellés par les enjeux liés à la transformation urbaine et à la résilience des collectivités. Pendant 3 jours, plus de 100 conférenciers seront sur place pour échanger sur leurs façons d’anticiper, de planifier, de développer et d’entretenir les réseaux d’infrastructures et d’aménager le territoire pour un développement harmonieux, performant et durable. La première journée donnera le ton en mettant à l’honneur la capacité d’innover d’entreprises, d’organisations et de centre de recherche du domaine. Par la suite, plusieurs grands dossiers seront traités, soulignons la présentation de stratégies en développement urbains et en gestion d’actifs, d’études de cas inédites ainsi que le dévoilement de technologies de pointe et de nouveaux matériaux capables de répondre aux exigences des milieux de plus en plus denses et urbanisés. Par ailleurs, toutes les personnes intéressées à visiter le Salon de l’exposition peuvent se présenter sur place, plus que jamais celui-ci s’imposera comme une vitrine technologique avec plus de 50 entreprises dynamiques et créatives. Pour plus d’informations sur le Congrès INFRA 2016, visitez le site Internet http://www.ceriu.qc.ca/congres/congres-infra-2016-21-au-23-novembre Source et informations : Stéphanie Boivin, coordonnatrice aux communications, CERIU514 848-9885, poste 270    stephanie.boivin@ceriu.qc.ca  

Tuyaux en polyéthylène (PE) pour le transport des liquides sous pression

2016-10-03
Nous désirons vous informer de la publication du document mentionné à l’objet. BNQ 3624-027 Tuyaux en polyéthylène (PE) pour le transport des liquides sous pression publié le 12 septembre 2016. Cette nouvelle édition remplace celle du 4 février 2000. Vous pouvez acheter ce document en ligne dans notre site Web [www.bnq.qc.ca/fr/boutique.html] avec votre carte de crédit. Si vous désirez obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter notre site Web [www.bnq.qc.ca], ou encore communiquer avec notre Service à la clientèle au 418 652-2238, poste 2437, ou 1 800 386-5114, poste 2437, ou par courriel à l’adresse bnqinfo@bnq.qc.ca.

Guide de bonnes pratiques d’exploitation des installations de distribution d’eau potable

2016-09-28
Le ministère du Développement durable, de l'Environnement et Lutte contre les changements climatiques (MDDELCC) rend disponible le Guide de bonnes pratiques d’exploitation des installations de distribution d’eau potable (PDF, 958 ko) afin de favoriser la mise en œuvre de ces bonnes pratiques par les responsables d’installations de distribution d’eau potable. Plusieurs avantages peuvent en découler, dont : Une meilleure stabilité de la qualité et de la quantité d’eau potable distribuée;Une meilleure protection de la santé publique liée à l’eau potable;Une meilleure gestion des actifs et des interventions sur l’installation de distribution;L’amélioration du respect des exigences gouvernementales (Règlement sur la qualité de l’eau potable et Stratégie québécoise d’économie d’eau potable).Une version du guide pour commentaires et suggestions En publiant ce document, le Ministère vise aussi à mettre à jour les éléments touchant l’exploitation des installations de distribution d’eau potable qui se trouvent actuellement dans la Directive 001. Il diffuse donc une version préliminaire du guide afin de recueillir les commentaires, les questions et les suggestions de ses clientèles externes. La période de consultation se termine le 31 décembre 2016. Les commentaires reçus seront considérés dans la version définitive du guide, qui sera publiée par la suite. Vous pouvez transmettre vos questions et commentaires par courriel ou par la poste aux coordonnées suivantes : Monsieur Donald Ellis Direction de l’eau potable et des eaux souterraines Ministère du Développement durable, de l’Environnementet de la Lutte contre les changements climatiques 675, boul. René-Lévesque Est, 8e étage Québec QC G1R 5V7

Concrete design handbook – 4e édition disponible

2016-09-23
L’Association Canadienne du Ciment (ACC) est heureuse d’annoncer la sortie de la 4e édition du Concrete Design Handbook.  Cette nouvelle édition reflète les modifications apportées à la norme Groupe CSA A23.3-14, “Calcul des ouvrages en béton”, et s’aligne avec les dispositions du Code national du bâtiment 2015. Elle remplace la 3e édition imprimée en 2006. La 4e édition du Concrete Design Handbook, le guide principal de conception en béton au Canada, aborde de nombreux aspects de la conception structurale des bâtiments en béton armé et précontraint conventionnels.  En plus d’une copie complète de la norme Groupe CSA A23.3-14, le manuel comprend également un ensemble de notes explicatives sur la norme et contient de nombreux exemples de conception d’éléments structuraux en béton armé conformément à la norme. Cliquez ici pour de plus amples renseignements