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Saint-Laurent remporte le mérite Ovation municipale pour sa règlementation sur les stationnements durables

2013-05-16
L’arrondissement de Saint-Laurent a eu l’honneur de remporter le mérite Ovation municipale de l’Union des municipalités du Québec (UMQ) dans la catégorie Environnement et développement durable, pour son projet « Réglementation sur l’aménagement des espaces de stationnement axé sur le développement durable ». Saint-Laurent était d’ailleurs le seul arrondissement montréalais à recevoir un mérite cette année. Les dix municipalités lauréates de la neuvième édition de la prestigieuse distinction ont été annoncées le vendredi 10 mai dernier au Palais des congrès de Montréal.« Ce prix a une grande importance pour nous parce qu’il représente la reconnaissance de nos pairs. Le règlement, qui est facilement applicable ailleurs, permet de concilier les enjeux des grands projets de construction et des mesures responsables avec l’environnement. Nous invitons toutes les municipalités à joindre nos efforts pour réduire les îlots de chaleur en augmentant le verdissement », a déclaré le maire de Saint-Laurent, Alan DeSousa.Bien aménager pour bien vivreAdopté en 2009, ce règlement s’aligne avec le Plan local de développement durable de l’arrondissement. Parmi les réflexions qui ont mené à sa conception, mentionnons l’objectif de s’adapter aux besoins réels des entreprises, des commerces et des propriétaires d'habitations multifamiliales, ainsi que de contribuer à diminuer les îlots de chaleur urbains en limitant leur empreinte écologique par le verdissement. Plusieurs stratégies ont été proposées, notamment réduire le nombre de cases minimal de stationnement requis, établir un nombre maximal de cases de stationnement (lequel était illimité selon l’ancienne réglementation), éliminer l'obligation de fournir des cases de stationnement et exiger davantage de stationnements souterrains pour l'usage résidentiel.Depuis sa mise en vigueur en 2010, la réglementation a été appliquée à un nombre toujours croissant de nouvelles constructions.Voici quelques exemples de son application :Bâtiment industriel : EXFO (2500, boulevard Alfred-Nobel) Réduction de 30 % des cases de stationnementBâtiment résidentiel : Place des Nations (255, rue des Nations) Élimination de 200 cases de stationnement existantes sur le terrain Construction d'un stationnement intérieur pour les résidentsBâtiment institutionnel : École Jean-Grou (805, rue Tassé) Réduction de 75 % du nombre de cases de stationnement Agrandissement de la cour et augmentation du verdissementPar ailleurs, l’impact de cette règlementation n’est pas limité à l’arrondissement de Saint-Laurent. En effet, plusieurs des aspects qu’elle propose ont été repris par le Bureau de normalisation du Québec (BNQ) dans son guide Lutte aux îlots de chaleur urbains – Aménagement des aires de stationnement, document qui s’adresse aux concepteurs urbains du Québec.Troisième prix, première OvationLe mérite Ovation municipale de l’UMQ représente la troisième distinction obtenue pour ce projet en autant d’années, après avoir reçu en 2011 le Prix national en environnement municipal de l’Association canadienne des administrateurs municipaux et le prix Mobilité durable de l’Association québécoise du transport et des routes en 2012.En 2013, dix municipalités ont été primées par le jury de l’Union des municipalités du Québec. Parmi les critères évalués se retrouvaient l’apport à la communauté, l’originalité, les résultats et le potentiel d’application par d’autres municipalités.L'UMQ est composée de plus de 300 municipalités membres, ainsi que de 44 élus, maires, préfets ou présidents de communautés métropolitaines à son conseil d’administration. Pour découvrir tous les lauréats et les finalistes du mérite Ovation municipale, visitez le www.umq.qc.ca.[[{"fid":"1234","view_mode":"media_responsive","type":"media","attributes":{"width":"100%","style":"max-width:600px;","class":"media-element file-media-responsive"}}]]Le maire de Saint-Laurent tenant le trophée mérite Ovation municipale 2013 en compagnie de l’adjointe au sous-ministre adjoint, Infrastructures et Finances municipales du MAMROT (Ministère des Affaires municipales, des Régions et de l’Occupation du territoire) et membre du jury, Josée Bernier, du conseiller d’arrondissement pour le district Côte-de-Liesse, Maurice Cohen, de la directrice de l’arrondissement de Saint-Laurent, Véronique Doucet, du directeur de l’Aménagement urbain et des services aux entreprises, Éric Paquet, de la chef de la Division de l’urbanisme, Marie-Claude Gauthier, de Geneviève Bouchard, chargée de communications, et du maire de la Ville de Rimouski et président de l’UMQ, Éric Forest.Pour plus d'informations:Organisation: Arrondissement Saint-LaurentAdresse: 777, boul. Marcel-LaurinSaint-Laurent, QuébecCanada, H4M 2M7saintlaurent.ville.montreal.qc.ca     

Coup d'oeil sur le projet du Guide d'évaluation de la performance des chaussées du CERIU

2013-05-13
Titre complet du projet : Guide d’évaluation de la performance des chaussées municipales suite à des interventions planifiées par tranchées, pour des réseaux techniques urbains (RTU) Conseil permanent : Réseaux techniques urbainsCe projet en cours de réalisation au CERIU vous offrira une méthode d’évaluation de la performance des chaussées après la réfection d’une tranchée dont les travaux auront été planifiés. L’approche préconisée en est une d’évaluation de résultats visibles et mesurables de caractéristiques de défaillances associées à la performance d’une chaussée plutôt qu’une approche de moyens de réalisation et de mise en œuvre.Plus spécifiquement, le guide vous proposera d’évaluer des qualités fonctionnelles de la chaussée, pour en évaluer le maintien de l’intégrité fonctionnelle, et ce, en mesurant des défaillances potentielles qui sont à la fois précises et facile à mesurer.ContexteL’ensemble des infrastructures dans l’emprise municipale représente, pour leurs propriétaires respectifs, un actif majeur dont la valeur doit être préservée voire optimisée. Les municipalités et les entreprises RTU doivent intervenir sur leurs réseaux respectifs, et ce, pour l’implantation ou la réparation de RTU ou de réseaux municipaux.Lors des interventions planifiées par tranchées sur les réseaux techniques urbains, les différents partenaires collaborent et mettent en œuvre leurs connaissances et leur expertise pour assurer l’intégrité de leurs actifs et l’optimisation des méthodes de réfection des tranchées.ProblématiqueLa réfection des tranchées et des chaussées suivant une intervention sur un réseau souterrain peut engendrer des défaillances et par conséquent créer des impacts significatifs sur la durée de vie et l’intégrité des actifs en place, soit la chaussée et les réseaux souterrains.ObjectifsCe projet vise à outiller les gestionnaires pour optimiser la durée de vie des infrastructures, tant publics que privés, présents dans les emprises de rues municipales par une approche d’évaluation de la performance des comportements de la chaussée dans le temps suite à des interventions planifiées par tranchées de RTU.LivrableUn guide sera produit afin d’expliquer aux gestionnaires comment suivre les performances d’une chaussée à la suite d’une intervention planifiée par tranchée sur un réseau souterrain.Fin de projet prévue : octobre 2013

Sommaire du rapport des activités 2012 du CERIU

2013-05-13
L’année 2012 en fut une remplie de défis et de succès pour le CERIU. Avec sa nouvelle structure organisationnelle appuyée par une culture de travail axée sur l’efficacité, l’efficience et la gestion par résultats, le CERIU a su développer des assises solides afin d’assurer sa pérennité mais également pour consolider sa raison d’être. Le Rapport annuel 2012 du CERIU présenté aux membres lors de l’Assemblée générale annuelle du 17 avril dernier a permis de faire le bilan complet des principales activités réalisées par l’organisation au cours de la dernière année ainsi qu’à présenter les orientations générales et les actions à venir en 2013.2012 : Une année remplie de réalisationsDans un premier temps, en 2012, le CERIU a adopté de nouvelles pratiques de gouvernance adaptées à une nouvelle structure organisationnelle ainsi qu’à une culture opérationnelle axée sur l’efficacité, l’efficience et la gestion par résultats. Il a de plus su relancer ses Conseils permanents ainsi que planifier et mettre en marche plusieurs projets d’expertise et de recherche. Dans cette foulée, tous sont conscients que les Conseils permanents constituent le poumon alimentant l’organisation, les projets étant au cœur même de la mission du CERIU. Certains projets sont déjà complétés, plusieurs autres sont en voie de réalisation tandis qu’un nombre prometteur d’entre eux sont dans les cartons et sur le point d’être lancés.Dans le cadre de la convention MAMROT-CERIU, l’état d’avancement des projets est considérable. À ce jour, 4 des 10 livrables sont complétés.  À la fin de 2012 et au cours des premiers mois de 2013, à ce jour, nous avons porté une attention toute particulière aux projets traitants du développement d’un nouveau site Web, de la tenue de 10 colloques dans le cadre de notre tournée régionale et de la mise à niveau du protocole NASSCO sur les inspections télévisées des conduites et des regards d’égouts.  En date du 31 mars 2013, en termes de pourcentage d’avancement des livrables, 74,5% des obligations contenues dans la convention ont été réalisées.  Au 31 décembre 2013, le CERIU est plus que confiant que 9 des 10 livrables auront été entièrement complétés tandis que la mise en œuvre de la version 7.0 du programme d’inspection télévisée (NASSCO) est prévue pour 2014.La dernière partie du rapport porte sur les différentes actions et activités entreprises en 2012 et toujours en cours pour l’année 2013. Plusieurs de ces projets offrent une dimension structurante pour le CERIU.  Leur réalisation permettra au CERIU d’optimiser son efficacité et de moderniser son offre de service de façon à consolider son rôle d’agent de mobilisation et de concertation ayant comme mission de développer le meilleur savoir-faire et de promouvoir les meilleures pratiques en matière d’infrastructures urbaines et municipales.En somme, en 2012, le CERIU a su répondre aux quatre principaux défis suivants :Adopter et mettre en œuvre son Plan de relance;Relancer ses Conseils permanents ainsi que lancer et réaliser plusieurs projets d’expertise et de recherche;Tenir le Congrès INFRA 2012 dont le succès fut reconnu par tous ses partenaires et participants;Assurer une stabilité financière et organisationnelle.2013 : Une année pleine de défis et d’opportunitésL’année 2013 a également son lot de défis et d’opportunités.  Au-delà des projets de recherche et des livrables en cours, le CERIU doit poursuivre sur sa lancée et mener à bien cet exercice continu et nécessaire de se réinventer de façon à optimiser ses opérations, moderniser son offre de services, élargir et diversifier son bassin de membres et consolider sa pertinence. Il devra continuer d’assurer une bonne gouvernance et une gestion rigoureuse de ses opérations. De plus, tout en se penchant sur les besoins des grandes, des moyennes et, surtout, des petites municipalités de toutes les régions du Québec, le CERIU devra œuvrer à planifier, élaborer et finaliser son prochain Plan stratégique triennal. Appuyé par les constats et recommandations découlant du rapport de sa tournée régionale, ce Plan identifiera les grands pans de ses orientations et interventions stratégiques de 2014 à 2017.Dans un esprit d’optimisme et ce, avec la participation dynamique de ses membres et de ses partenaires, dans un contexte socio-économique exigeant en termes de complexité des enjeux et d’obligations de résultats au service des contribuables, la raison d’être du CERIU est assurée et son avenir est plus que prometteur.Tout le travail effectué au cours de la dernière année s’est basé sur le Plan d'action stratégique 2012-2013 du CERIU que l’organisation est fière d’avoir respecté et ainsi démontrer sa force et son engagement.

Le ministre Blanchet annonce la publication du projet de règlement sur les ouvrages municipaux d'assainissement des eaux usées

2013-05-06
Le ministre du Développement durable, de l'Environnement, de la Faune et des Parcs, M. Yves-François Blanchet, a annoncé le 3 mai la publication à la Gazette officielle du Québec du projet de règlement sur les ouvrages municipaux d'assainissement des eaux usées, aux fins d'une consultation publique. « Ce règlement va nous permettre de continuer à améliorer la santé de nos cours d'eau. Ces précieuses sources d'eau potable abritent également des écosystèmes qu'il faut protéger. La nouvelle phase d'assainissement des eaux usées municipales permettra, à terme, de rendre aux Québécois plusieurs usages du fleuve et de nos cours d'eau, tels que la baignade et la pêche », a souligné le ministre Blanchet.ContexteLe projet de règlement soumis à la consultation s'inscrit dans les objectifs de la Politique nationale de l'eau et fait suite aux récentes recommandations du Commissaire au développement durable. Il permettra de compléter le programme d'assainissement des eaux usées municipales et de réaliser d'importants travaux de mise à niveau des installations d'épuration existantes sur l'ensemble du territoire québécois.Le projet de règlement permet d'introduire de nouvelles normes de performance applicables dans toutes les municipalités québécoises, et qui seront au moins équivalentes à celles énoncées dans la Stratégie pancanadienne sur la gestion des effluents d'eaux usées municipales. Ainsi, les stations d'épuration existantes qui ne respectent pas ces normes devront se conformer à la réglementation d'ici 2020, 2030 ou 2040, selon le niveau de risque qu'elles représentent pour l'environnement. La Stratégie adoptée prévoit également des exigences pour le contrôle des débordements d'eaux usées brutes et exige la production de plans pour la réduction de ces débordements. Bien qu'il souscrive aux objectifs poursuivis par cette stratégie, le Québec n'a pas officiellement adhéré à celle-ci parce qu'il n'a pas obtenu, à ce jour, les garanties demandées au gouvernement fédéral à l'égard du respect de ses compétences et d'une contribution fédérale adéquate aux investissements qui seront requis.Par ce geste, le Québec démontre sa volonté d'exercer pleinement ses compétences en ce domaine et d'être soustrait de l'application du Règlement sur les effluents des systèmes d'assainissement édicté par le gouvernement fédéral le 29 juin 2012. À cette fin, une entente intergouvernementale devra être conclue de manière à ce que la réglementation québécoise soit la seule à s'appliquer au Québec.Le règlement, en brefLe projet de règlement établit de nouvelles normes de rejet et interdit les débordements d'eaux usées non traitées par temps sec. Les installations d'épuration actuelles seront graduellement améliorées et de nouvelles seront construites afin de pouvoir respecter ces nouvelles normes.Le projet de règlement prévoit en outre que le ministère du Développement durable, de l'Environnement, de la Faune et des Parcs délivrera des attestations d'assainissement municipales qui viendront préciser les exigences particulières à respecter selon la vulnérabilité du milieu récepteur, en plus de celles qui sont comprises dans le règlement. Ces attestations, renouvelables aux cinq ans, permettront d'ajuster ces exigences, au besoin, selon l'évolution de la situation et des connaissances.Mentionnons que le projet de règlement précise aussi les qualifications professionnelles que devront désormais posséder les opérateurs de stations d'épuration municipales.Par ailleurs, en vertu de la nouvelle position ministérielle sur l'application des normes de débordement des réseaux d'égout municipaux, il est important de noter qu'à partir du 1er avril 2014, aucun projet d'extension de réseau d'égout susceptible de faire augmenter la fréquence des débordements d'égouts unitaires, domestiques ou pseudodomestiques ne sera autorisé. Cette procédure s'appliquera aussi à toute augmentation de débit dans le réseau d'égout résultant du redéveloppement d'un secteur ou de l'implantation, de l'agrandissement ou de l'augmentation de la production d'une industrie. Cette règle ne s'appliquera toutefois pas aux projets dont le débit moyen est inférieur à 10 m3/jour, si le réseau d'égout existant respecte ses exigences de débordement.Des investissements importants d'ici 2040Il en coûtera environ 3 milliards de dollars pour amener tous les ouvrages municipaux d'assainissement des eaux usées au niveau des normes de performance prévues. Par ailleurs, les coûts pour réduire les débordements d'eaux usées non traitées à un niveau permettant la pleine récupération des usages pourraient atteindre jusqu'à 6 milliards de dollars. Il est attendu que le gouvernement fédéral assume une part significative du financement requis à long terme pour procéder à ces investissements.« Plus grande efficacité des installations, normes plus sévères, suivi rigoureux, telles sont nos objectifs pour assurer la santé de la population et améliorer la qualité de nos cours d'eau. J'invite toutes les organisations concernées par le projet de règlement à participer à la consultation », a conclu le ministre Blanchet.La consultation publique aura lieu du 15 mai au 13 juillet 2013. Le projet de règlement, les modalités relatives à la consultation publique, de même que la position ministérielle sur l'application des normes de débordement des réseaux d'égout municipaux sont disponibles sur le  site Web du Ministère  Pour plus d'informations: Organisation: Gouvernement du Québecwww.gouv.qc.ca  

Infrastructures : le gouvernement du Québec dépose un projet de loi sur la gestion et la transparence des projets

2013-05-02
Le ministre responsable de l'Administration gouvernementale et président du Conseil du trésor, M. Stéphane Bédard, a déposé à l'Assemblée nationale le projet de loi no 38, Loi concernant la gouvernance des infrastructures publiques, constituant la Société québécoise des infrastructures et modifiant diverses dispositions législatives.« Ce projet de loi s'inscrit dans notre démarche entamée l'automne dernier pour revoir en profondeur nos façons de faire, à la suite du rapport accablant SECOR-KPMG sur la gestion des infrastructures sous le gouvernement libéral. Après avoir instauré l'intégrité et la probité dans l'octroi des contrats publics avec l'adoption de la Loi no 1, notre gouvernement veut maintenant doter l'administration publique de pratiques exemplaires en matière de gestion des projets d'infrastructure », a déclaré le ministre Bédard.PQI 2013-2023Comme le prévoit le projet de loi no 38, le gouvernement s'engage désormais à déposer un plan d'investissements couvrant un horizon de dix ans. Rendu public la semaine dernière, le nouveau Plan québécois des infrastructures (PQI) prévoit des investissements de 92,3 G$ et la création ou le maintien de près de 60 000 emplois en moyenne par année partout au Québec. Ce plan propose une véritable vision fondée sur l'honnêteté et la rigueur. Il assurera une meilleure cohésion entre nos choix d'investissements et notre capacité de payer.Le nouveau PQI intégrera la totalité des investissements publics en infrastructures. Tous seront désormais soumis au même processus rigoureux de planification et de suivi. De plus, pour être inscrit au PQI, tout projet d'infrastructure publique de 40 M$ et plus devra préalablement être autorisé.Société québécoise des infrastructuresLe projet de loi prévoit par ailleurs, tel qu'annoncé en décembre dernier, la fusion de la Société immobilière du Québec (SIQ) et d'Infrastructure Québec, de façon à mettre en commun leurs savoir-faire respectifs. La nouvelle Société québécoise des infrastructures (SQI) apportera un meilleur soutien aux organismes publics en leur fournissant un encadrement et un suivi de qualité dans la planification et l'exécution des projets. Le gouvernement verra ainsi à assurer une gestion optimale des risques, des coûts et des échéanciers des projets.Reddition de comptes et transparenceLe projet de loi prévoit également le dépôt d'un plan annuel de gestion des investissements (PAGI) par chaque ministre à l'égard des investissements de son ministère et des organismes sous sa responsabilité. Ces plans présenteront notamment une prévision de l'effet des investissements publics en infrastructures portant sur l'atteinte des objectifs et des orientations de chaque organisme public en matière d'infrastructures ainsi que sur les dépenses du gouvernement, la résorption du déficit de maintien d'actifs et la pérennité des infrastructures. Cette démarche s'inscrit dans une perspective de transparence et de reddition de comptes face au public et aux élus.« Nos routes, nos écoles, nos hôpitaux sont une véritable richesse collective. Ce sont des investissements tangibles pour nos concitoyens. Nous devons donc poser les bons gestes pour assurer un meilleur processus de planification et de suivi des investissements en infrastructures. Nous devons en même temps nous assurer d'une saine gestion des ressources publiques », a conclu le ministre Bédard.Le projet de loi no 38 peut être consulté sur le site Internet de l'Assemblée nationale. Pour plus d'informations:Organisation: Gouvernement du Québecwww.gouv.qc.ca   

De la styromousse sous l'autoroute 55!

2013-05-01
La scène ressemble à un assemblage de blocs de construction blancs. L'ingénieur de Transports Québec Bernard Caron explique que le remblai « est fait avec des couches de polystyrène, des blocs de huit pieds de long. » Le remblai rejoindra le viaduc qui enjambe le boulevard des Acadiens. Construit en polystyrène, il pèse 80 fois moins que le remblai de terre habituel, ce qui évitera au sol argileux de s'affaisser. Le remblai de bloc sera recouvert d'une membrane étanche et d'une couche de béton. « Un bloc pèse 80 livres. Sur le chantier, un ouvrier peut manœuvrer un bloc comme s'il était Astérix après sa potion magique! » — Bernard Caron, ingénieurLa construction des deux remblais de chaque côté du viaduc coûtera 10 millions de dollars.

Plan québécois des infrastructures 2013-2023 - 8,1 G$ en infrastructures municipales

2013-04-26
Le ministre responsable de l'Administration gouvernementale et président du Conseil du trésor, M. Stéphane Bédard, a dévoilé le Plan québécois des infrastructures (PQI) 2013-2023. Ce plan, dont les investissements atteignent 92,3 G$, propose aux Québécois une véritable vision de planification et de gestion des infrastructures, fondée sur l'honnêteté et la rigueur.Le gouvernement répond ainsi aux constats sévères du rapport SECOR-KPMG sur la gestion des infrastructures publiques sous l'ancien gouvernement libéral. Ce rapport indépendant a démontré que plusieurs projets avaient été délibérément sous-évalués, que d'autres avaient fait l'objet d'une annonce précipitée ou encore qu'ils avaient été réalisés en dehors du Plan québécois des infrastructures. Les résultats sont navrants : des dépassements de coûts de près de 80 %, en moyenne, pour une vingtaine de projets majeurs.Des retombées majeuresAvec le PQI, le gouvernement s'assure de renouveler et d'améliorer les infrastructures dans tous les secteurs de la société. Parmi les principaux secteurs d'investissement en infrastructures, le gouvernement allouera notamment une somme de 31,6 G$ en transport, 19,4 G$ en santé, 14,2 G$ en éducation et en enseignement supérieur et recherche, 8,1 G$ en infrastructures municipales ainsi que 2,0 G$ en culture. Ces investissements auront des retombées économiques majeures partout sur le territoire québécois, avec près de 60 000 emplois créés ou maintenus, en moyenne, par année.Une vision sur dix ansLe Plan québécois des infrastructures 2013-2023 adopte un horizon de dix ans. Cela permettra entre autres de mieux prendre en considération les répercussions financières des projets majeurs qui ont une période de réalisation de plus de cinq ans. Le gouvernement pourra ainsi déterminer à l'avance les sommes qui deviendront disponibles à moyen terme pour entreprendre de nouveaux projets.Par ailleurs, la totalité des investissements financés par le gouvernement sera intégrée au nouveau PQI. Les plans des années précédentes représentaient quant à eux environ 80 % des investissements du gouvernement. Les investissements publics dans leur ensemble seront désormais soumis au même processus rigoureux de planification et de suivi.Trois catégories de projetsLa nouvelle approche entraînera une meilleure priorisation des projets. Elle assurera le maintien du parc d'actifs dans un état optimal et sécuritaire tout en permettant un meilleur contrôle des coûts. Pour ce faire, les projets en infrastructures seront désormais classés en trois catégories : les projets à l'étude, les projets en cours de planification et les projets en cours de réalisation‎. Le classement des projets sera revu chaque année afin de s'assurer de bien respecter les étapes selon le contexte et les priorités qui en découlent.« Cette nouvelle approche rigoureuse nous permettra d'évaluer de façon prospective les besoins en fonction des priorités des Québécoises et des Québécois, de bien mesurer les coûts qui y sont associés et ainsi de faire des choix éclairés », a déclaré M. Bédard.Enfin, soulignons que les règles de gouvernance en matière de gestion, d'approbation et de suivi des projets seront renforcées au cours de la prochaine année. Un projet de loi à cet effet sera déposé au cours de la présente session parlementaire. Celui-ci verra aussi à préciser les règles à suivre en termes de planification et de suivi. Par exemple, des plans annuels de gestion des investissements par les ministères et organismes seront dorénavant déposés à l'Assemblée nationale, au même titre que les plans annuels de gestion des dépenses. Ces plans feront état, en toute transparence, des projets en infrastructures qui seront réalisés par les ministères.« Le PQI 2013-2023 s'inscrit dans la volonté de la population et de notre gouvernement de s'assurer d'une saine gestion des ressources publiques en poursuivant notre lutte sans merci à la collusion et à la corruption. Toute notre action s'appuie sur le principe de l'intégrité, qui est à la base de la démocratie. C'est sur ce lien de confiance entre l'État et les citoyens que nous allons construire le Québec de demain », a conclu le ministre Bédard. Pour plus d'informations:Organisation: Gouvernement du Québecwww.gouv.qc.ca   

MAMROT - Programme d'infrastructures Québec-Municipalités (PIQM)

2013-04-16
L’aide financière disponible au volet 1 du Programme d'infrastructures Québec-Municipalités (PIQM) vise à permettre aux municipalités de réaliser des travaux de construction, de réfection ou d’agrandissement d’infrastructures d’eau potable et d’eaux usées de même que des travaux de réhabilitation ou de replacement de conduites de distribution d’eau potable et d’égouts prioritaires.Pour consulter la description complète du volet 1 du programme PIQM et de ses sous-volets ou encore pour obtenir des précisions sur les modalités d’admissibilité d’un projet et le versement de l’aide financière, consultez le Guide sur le Programme d’infrastructures Québec-Municipalités (394 Ko). Pour plus d'informations:Organisation: Ministère des Affaires municipales, des Régions et Occupation du territoireAdresse: 10, rue Pierre-Olivier-ChauveauQuébec, QuébecCanada, G1R 4J3www.mamrot.gouv.qc.ca

La gestion publique de l'eau potable est à repenser

2013-04-05
Au Canada, le pouvoir d'adopter des lois sur les cours d'eau est de compétence fédérale, mais le contrôle de la qualité de l'eau potable relève des provinces. L'eau embouteillée, considérée comme un aliment, est assujettie à la loi fédérale sur les aliments et drogues alors que les prises d'eau et la tarification sont sous la responsabilité des provinces. L'entretien des réseaux d'aqueduc appartient aux municipalités, mais ces infrastructures sont généralement payées par des impôts que perçoivent les provinces ou le pays.Cette fragmentation des compétences qui parfois se chevauchent est aggravée par un manque de coordination à l'échelle nationale et doit être repensée, affirme Kathryn Furlong, professeure au Département de géographie de l'Université de Montréal et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en gouvernance urbaine, de l'eau et des services publics.Si, au Québec, la taxe municipale inclut ce que nous appelons la «taxe d'eau», cela s'avère insuffisant pour assurer l'entretien des aqueducs, qui doit être couvert en partie par les taxes et les impôts que prélèvent les gouvernements fédéral et provincial. Cette façon de faire a des effets pervers, estime la professeure. «Si une part de nos impôts était spécifiquement allouée à l'eau potable, les municipalités pourraient utiliser cette source de financement pour effectuer un entretien plus efficace des infrastructures. Mais ce n'est pas le cas actuellement», déplore-t-elle.Abondance trompeuseAvec 25 % des réserves mondiales, le Canada est l'un des pays les plus riches en eau potable de la planète. Mais cette abondance serait surestimée.«Environ 60 % des réserves canadiennes sont dans des zones inhabitées, précise Kathryn Furlong, et il n'y a que 2,6 % de nos réserves qui peuvent être renouvelés sans que le niveau des cours d'eau en souffre. L'eau des Grands Lacs, par exemple, est faiblement renouvelable et un abaissement du niveau de ces lacs causerait d'importants problèmes de navigation. L'Alberta et la Colombie-Britannique doivent quant à elles affronter des périodes de sècheresse dans leurs régions du sud.»De plus, quelque 2000 communautés rurales doivent de façon quasi permanente faire bouillir leur eau, un problème qui touche particulièrement les communautés autochtones. Selon la professeure, notre «abondance» est donc trompeuse et constitue l'une des causes de notre mauvaise gestion de l'eau.La privatisation n'est pas la solutionL'habitude de plus en plus répandue de consommer de l'eau embouteillée pourrait bien empirer la situation en privant les municipalités d'une source de revenu. L'eau embouteillée provient souvent d'aqueducs municipaux et, dans de tels cas, l'entreprise privée ne paie que le cout de production, alors qu'elle encaisse les profits de la vente. «Le public paie donc le traitement de l'eau et le recyclage des déchets. C'est une activité commerciale privée qui implique un investissement public», souligne Kathryn Furlong.La privatisation des services d'aqueduc ne lui apparait pas non plus être la bonne solution. «L'arrivée des entreprises privées dans les services d'eau potable a connu un pic dans les années 90, surtout en Amérique latine, mais ce ne fut pas une solution au manque d'eau potable dans les quartiers défavorisés, où les résidants ne peuvent pas payer cette ressource. Là où les pouvoirs publics devaient financer l'entretien des infrastructures au-delà d'un certain seuil, les compagnies privées ont laissé grimper les frais afin de ne pas avoir à assumer ce cout. Aujourd'hui, le privé n'a plus la cote dans le dossier de l'eau potable.»Par ailleurs, plusieurs pays ont constitutionnalisé le droit à l'eau potable, mais cela ne s'est pas nécessairement traduit par un meilleur accès à cette ressource, a constaté la chercheuse.Pour Kathryn Furlong, la solution aux problèmes que rencontrent les municipalités canadiennes passe plutôt par une rationalisation des lois et règlements. La réforme qu'elle entrevoit devrait accorder aux municipalités plus de pouvoir pour collecter des fonds destinés à la gestion de l'eau ou encore assurer le transfert d'une part des impôts fonciers à cette gestion.Daniel BarilSource : Université de Montréal Pour plus d'informations:Organisation: Université de MontréalAdresse: Case postale 6128, succ. Centre-villeMontréal, QuébecCanada, H3C 3J7www.umontreal.ca

Bonne gestion des réseaux d'égouts - Le ministère confie au CERIU le mandat de réaliser deux manuels d'accompagnement

2013-04-04
La bonne gestion des réseaux d'égouts requiert de connaître les pathologies qui peuvent affecter les réseaux, de poser un diagnostic juste de ces pathologies et de déterminer les interventions à mettre en place pour y remédier.C’est dans le but de fournir aux gestionnaires et décideurs des outils pratiques pour développer la connaissance dans le domaine des réseaux d’égouts que le Ministère a confié au Centre d'expertise et de recherche en infrastructures urbaines (CERIU) le mandat de réaliser ces deux manuels d’accompagnement.Le premier manuel intitulé Guide pour comprendre et interpréter le protocole d’inspection télévisée PACP  vise à familiariser les gestionnaires au protocole Pipeline Assessment and Certification Program (PACP) qui a été adopté par l’ensemble des intervenants québécois du domaine pour l’évaluation de l’état des conduites d’égout. Ce manuel présente sommairement le contenu du protocole, soit la nomenclature, les systèmes de codification et de notation ainsi que le système de cotes qui permet d’associer une échelle de gravité à chaque défaut et de procéder à un classement préliminaire des conduites selon leur état. Il explique également le contexte québécois qui a mené à son adoption, les différents types d’inspection télévisée disponibles au Québec, les éléments dont on doit tenir compte à toutes les étapes (devis, inspection et rapport) pour s’assurer de la qualité des résultats et décrit succinctement les types d’interventions possibles.Le deuxième manuel intitulé  Réseaux d’égouts : pathologies, diagnostics et interventions vise principalement à présenter les éléments à prendre en considération et une méthode pour déterminer les interventions requises sur les réseaux d’égouts. Il fournit des informations pour comprendre les liens qui existent entre les défauts que l’on retrouve dans les conduites d’égout, leurs conséquences éventuelles et les mesures à prendre pour les corriger. Les utilisateurs seront en mesure d’identifier les principaux défauts rencontrés, de reconnaître les symptômes, les causes et les conséquences des défauts rencontrés, de comprendre les facteurs influençant la dégradation des conduites, de poser un diagnostic de l’état d’une conduite d’égout, d’identifier les techniques d’intervention possibles selon le stade de détérioration et de recommander la meilleure intervention selon la nature, la gravité et l’étendue des défauts.Ces manuels permettront d’améliorer les connaissances des municipalités et de leurs consultants pour évaluer l’état des réseaux d’égouts afin d’assurer leur renouvellement de manière économique et durable.Pour plus d'informations:Organisation: Ministère des Affaires municipales, des Régions et Occupation du territoireAdresse: 10, rue Pierre-Olivier-ChauveauQuébec, QuébecCanada, G1R 4J3www.mamrot.gouv.qc.ca   

Nouveau règlement sur les tours de refroidissement à l'eau

2013-03-28
Le Règlement modifiant le Code de sécurité a été publié aujourd’hui, le 27 mars 2013, à la Gazette officielle du Québec afin de fixer des exigences d’entretien pour les tours de refroidissement à l’eau. Ce Règlement vise à améliorer la sécurité du public dans le voisinage des bâtiments équipés de tours de refroidissement à l’eau en minimisant le développement de bactéries, dont celles du genre Legionella. Toutes les tours de refroidissement à l’eau, y compris celles d’industries, de commerces et d’institutions, sont visées par les nouvelles exigences.Formation sur l’entretien des tours de refroidissement: l’encadrement réglementaire et la gestion du risque de légionelloseUne formation sur l’entretien des tours de refroidissement à l’eau est organisée par la Régie du bâtiment du Québec (RBQ) à Montréal, le 16 avril prochain, et à Québec, le 18 avril prochain. Cette formation, au coût de 95$, s’adresse aux propriétaires de tours, aux personnes responsables de l’entretien ainsi qu’aux professionnels impliqués dans le développement des programmes d’entretien. Pour obtenir plus d’information et s’inscrire:Formation de Montréal le 16 avril 2013   Formation de Québec le 18 avril 2013Toute l’information relative aux nouvelles obligations des propriétaires et au règlement est disponible dans la section Nos grands dossiers.La Régie du bâtiment du Québec vous invite à transférer ce courriel à vos membres ou clients qui sont susceptibles d’être interpellés par ce Règlement.Direction des communications Régie du bâtiment du Québec 545, boul. Crémazie Est, 9e étage Montréal, Québec H2M 2V2 Tél. : 514 873-0688 Télec.: 514 873-0094 

Annonce des investissements routiers prévus pour 2013-2015

2013-03-28
Communiqué de presse Annexe Ensemble du Québec Faits saillants nationaux Exemples de travaux régionaux Répartition par région administrative Tableau des projets stratégiques

Annonce d'un nouveau sous-volet du Programme d'infrastructures Québec-Municipalités

2013-03-27
Le ministre des Affaires municipales, des Régions et de l'Occupation du territoire et ministre des Transports, monsieur Sylvain Gaudreault, annonce un nouveau sous-volet du Programme d'infrastructures Québec-Municipalités, consacré aux infrastructures municipales, dont la gestion est basée sur des principes d'équité et de transparence.« À mon arrivée, j'ai été étonné de constater que le gouvernement précédent sélectionnait de façon discrétionnaire les projets d'infrastructures municipales à incidence économique. C'est donc pour en finir avec l'arbitraire politique dans le choix des projets que j'ai demandé au Ministère de revoir les critères de sélection afin que le processus d'attribution d'une aide financière se fasse dorénavant de façon objective en fonction de critères prédéfinis. Le nouveau volet « Réfection et construction des infrastructures municipales (RÉCIM) », que j'annonce aujourd'hui (22 mars), reflète parfaitement la volonté de notre gouvernement de mettre l'intégrité au cœur de ses décisions », a indiqué le ministre Gaudreault.Un nouveau sous-volet 5.1, intitulé « Projets d'infrastructure à vocation municipale ou communautaire », remplacera le sous-volet 2.1 et entrera en vigueur en avril 2013. Doté d'une enveloppe budgétaire de près de 60 millions sur cinq ans, il ciblera les infrastructures municipales et communautaires uniquement. La sélection des projets se fera avec rigueur, selon un système d'évaluation, qui permettra d'accorder la priorité aux projets qui découlent d'une problématique importante dont l'urgence pourra être démontrée.« J'ai la conviction que c'est notamment en nous dotant de processus rigoureux et transparents dans la gestion et la sélection des projets d'infrastructures municipales que nous rétablirons la confiance des Québécoises et des Québécois envers leurs institutions démocratiques », a conclu le ministre Gaudreault.Pour plus d'informations:Organisation: Gouvernement du Québecwww.gouv.qc.ca     

Analyse de l'état et des performances des infrastructures aux États-Unis

2013-03-26
L'American Society of Civil Engineers s'engage à protéger la santé, la sécurité et le bien-être de la population, et en tant que tel, elle est également engagée à améliorer l'infrastructure publique de ce pays. Pour atteindre cet objectif, l'organisation publie un Bulletin qui décrit l'état et les performances des l'infrastructures aux États-Unis sous la forme familière d'un bulletin qui évalue la condition physique des infrastructures et les investissements nécessaires.Investissement estimé nécessaire d'ici à 2020: 3,6 billions de dollars»»» Report card for America's Infrastructure 

Appel aux conférenciers INFRA 2013

2013-03-21
Communiqué de presse C’est avec grand intérêt que le Centre d’expertise et de recherche en infrastructures urbaines (CERIU) lance l’appel aux conférenciers en vue de la 19e édition du Congrès INFRA qui se déroulera du 2 au 4 décembre 2013 au Centre des congrès de Québec, à Québec. Au total, c’est plus de 1200 spécialistes attirés par l’idée de partager leurs connaissances qui sont attendus à ce rendez-vous incontournable en infrastructures municipales. Si vous êtes ingénieurs, techniciens, décideurs, gestionnaires, chercheurs ou urbanistes et que l’idée de partager votre expertise vous interpelle, nous vous invitons à déposer une proposition de conférence avant le 24 mai prochain.   Sur le thème La somme de nos compétences au service des citoyens, la programmation 2013 vise non seulement à exposer des solutions pour optimiser les méthodes de planification, d’entretien et de renouvellement tout en examinant la gestion des coûts, mais également à questionner les vecteurs d’un développement urbain durable. En ce sens, les conférences devront présenter une étude de cas ou des travaux de recherche appliqués ou adaptés à la réalité des municipalités du Québec.
 
 Formulaire de proposition de conférence

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